Donald Trump et Vladimir Poutine ont parlé de « la paix en Europe ». C'est ce que rapporte le Washington Post qui précise que les deux hommes ont échangé au téléphone deux jours après l’élection présidentielle, le premier entretien depuis la victoire de Donald Trump, rapporte notre correspondante à New York, Loubna Anaki.
Selon le quotidien américain, le président élu aurait appelé son homologue russe à « ne pas intensifier la guerre en Ukraine » tout en lui rappelant l’importante présence militaire américaine en Europe. Cet entretien téléphonique a eu lieu au lendemain d’un premier échange entre Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
On sait que lors de sa campagne, le nouveau président américain a promis de mettre fin rapidement à la guerre en Ukraine, sans jamais vraiment dire comment. En privé, il aurait notamment dit être ouvert à un accord qui permettrait à Moscou de garder certaines terres ukrainiennes occupées. De son côté, le Kremlin a démenti cet appel téléphonique. « Cela ne correspond absolument pas à la réalité, c'est une pure invention, c'est tout simplement une information fausse », a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Des « signaux positifs »
Le Kremlin a estimé dimanche que le républicain avait envoyé pendant la campagne des « signaux positifs » concernant le conflit, puisqu'il a évoqué une possible « paix » et n'a pas montré de « volonté d'infliger une défaite stratégique à la Russie ».
Pour « placer l'Ukraine dans la position la plus forte possible sur le champ de bataille pour qu'elle soit dans la plus forte possible à la table des négations », l'administration Biden a prévu de dépenser les six milliards de dollars restants avant l'arrivée de Donald Trump au pouvoir.
La proximité assumée du milliardaire américaine avec Vladimir Poutine et ses positions sur l’aide militaire américaine à l’Ukraine provoquent l'inquiétude de Kiev qui redoute les décisions que le président élu pourrait prendre lors de son arrivée à la Maison Blanche.
Selon le quotidien américain, le président élu aurait appelé son homologue russe à « ne pas intensifier la guerre en Ukraine » tout en lui rappelant l’importante présence militaire américaine en Europe. Cet entretien téléphonique a eu lieu au lendemain d’un premier échange entre Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
On sait que lors de sa campagne, le nouveau président américain a promis de mettre fin rapidement à la guerre en Ukraine, sans jamais vraiment dire comment. En privé, il aurait notamment dit être ouvert à un accord qui permettrait à Moscou de garder certaines terres ukrainiennes occupées. De son côté, le Kremlin a démenti cet appel téléphonique. « Cela ne correspond absolument pas à la réalité, c'est une pure invention, c'est tout simplement une information fausse », a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Des « signaux positifs »
Le Kremlin a estimé dimanche que le républicain avait envoyé pendant la campagne des « signaux positifs » concernant le conflit, puisqu'il a évoqué une possible « paix » et n'a pas montré de « volonté d'infliger une défaite stratégique à la Russie ».
Pour « placer l'Ukraine dans la position la plus forte possible sur le champ de bataille pour qu'elle soit dans la plus forte possible à la table des négations », l'administration Biden a prévu de dépenser les six milliards de dollars restants avant l'arrivée de Donald Trump au pouvoir.
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