Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck a exprimé, son entière satisfaction et réitérer solennellement, à l’endroit de tous ceux qui ne cessent d’œuvrer pour la promotion de la santé des populations, la disponibilité sans équivoque de son département à répondre positivement à toutes leurs sollicitations.
« Il y’a plus de deux ans, le 28 novembre 2012 précisément, je procédais au lancement officiel du Plan d’Action national de Planification familiale du Sénégal. A l’occasion, j’avais fort opportunément évoqué le rôle primordial de la planification familiale, élément clé de notre stratégie de réduction de la morbidité et de la mortalité maternelle et néo-natale dans le bien-être de l’individu, de la famille et des communautés. J’avais également rappelé que notre politique en la matière trouve toute sa légitimité dans les dispositions de notre Constitution et se réfère aux pertinentes recommandations issues des Grandes Conférences Internationales au cours desquels a été pleinement réaffirmé, le droit pour tout individu, d’accéder et de jouir librement de l’information et des services de planification familiale.
Faisant sien les recommandations de Ouagadougou de 2011, notre pays, avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers, a élaboré et mis en œuvre le Plan d’Action national de la Planification familiale. Nous nous étions fixés un objectif ambitieux d’augmenter le taux de prévalence contraceptive pour les femmes en union de 12% en 2010 à 27% en 2015… », a rappelé Awa Marie Coll Seck. Selon le ministre, les programmes de planification familiale, parce qu’interpellant à la fois l’individu, la famille et la société, doivent obéir à un effort d’ajustement permanent de leurs outils, afin de répondre aux besoins des populations en matière de santé reproductive.
« Depuis l’avènement du Plan d’Action national de Planification familiale, beaucoup de réalisations ont été notées concernant particulièrement l’intégration progressive des services de planification familiale dans les prestations de soins de santé maternelle. Dans ce registre, on peut aussi citer l’élaboration et l’application de normes politiques et protocoles de services de planification familiale, la disponibilité de produits contraceptifs par la mise à l’échelle de stratégies innovantes. L’implication du secteur privé, de la société civile et du niveau communautaire dans l’élargissement de l’offre et l’utilisation des contraceptifs.
C’est ici qu’il convient de saluer, l’apport et l’accompagnement combien déterminants de nos partenaires techniques et financiers au premier rang desquels l’OMS, l’USAID, l’UNFPA, l’UNICEF et tant d’autres, dans la promotion de la santé de la reproduction ». Pour elle, il s’agit aujourd’hui, d’aller plus en profondeur dans l’évaluation de l’état de la mise en œuvre de notre plan stratégique en examinant le niveau d’exécution des activités de l’offre de services, de la disponibilité des produits, de la création de la demande.
« Il y’a plus de deux ans, le 28 novembre 2012 précisément, je procédais au lancement officiel du Plan d’Action national de Planification familiale du Sénégal. A l’occasion, j’avais fort opportunément évoqué le rôle primordial de la planification familiale, élément clé de notre stratégie de réduction de la morbidité et de la mortalité maternelle et néo-natale dans le bien-être de l’individu, de la famille et des communautés. J’avais également rappelé que notre politique en la matière trouve toute sa légitimité dans les dispositions de notre Constitution et se réfère aux pertinentes recommandations issues des Grandes Conférences Internationales au cours desquels a été pleinement réaffirmé, le droit pour tout individu, d’accéder et de jouir librement de l’information et des services de planification familiale.
Faisant sien les recommandations de Ouagadougou de 2011, notre pays, avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers, a élaboré et mis en œuvre le Plan d’Action national de la Planification familiale. Nous nous étions fixés un objectif ambitieux d’augmenter le taux de prévalence contraceptive pour les femmes en union de 12% en 2010 à 27% en 2015… », a rappelé Awa Marie Coll Seck. Selon le ministre, les programmes de planification familiale, parce qu’interpellant à la fois l’individu, la famille et la société, doivent obéir à un effort d’ajustement permanent de leurs outils, afin de répondre aux besoins des populations en matière de santé reproductive.
« Depuis l’avènement du Plan d’Action national de Planification familiale, beaucoup de réalisations ont été notées concernant particulièrement l’intégration progressive des services de planification familiale dans les prestations de soins de santé maternelle. Dans ce registre, on peut aussi citer l’élaboration et l’application de normes politiques et protocoles de services de planification familiale, la disponibilité de produits contraceptifs par la mise à l’échelle de stratégies innovantes. L’implication du secteur privé, de la société civile et du niveau communautaire dans l’élargissement de l’offre et l’utilisation des contraceptifs.
C’est ici qu’il convient de saluer, l’apport et l’accompagnement combien déterminants de nos partenaires techniques et financiers au premier rang desquels l’OMS, l’USAID, l’UNFPA, l’UNICEF et tant d’autres, dans la promotion de la santé de la reproduction ». Pour elle, il s’agit aujourd’hui, d’aller plus en profondeur dans l’évaluation de l’état de la mise en œuvre de notre plan stratégique en examinant le niveau d’exécution des activités de l’offre de services, de la disponibilité des produits, de la création de la demande.
Point_de_presse_de_Awa_Marie_Coll_Seck_sur_la_revue_nation ale_du_PF_français.mp3 (3.53 Mo)
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