
Le Docteur Amadou ndiaye Diop s'est exprimé dans un entretien qu'il nous accordé sur la situation nutritionnelle des patients hospitalisés dans un service de médecine interne en banlieue dakaroise. Selon le Docteur, la population d'étude comportait 30 femmes et 20 hommes d'âge moyen 48,4 ± 18,5 ans avec une prédominance de la tranche d'âge 40-59 ans. Et Plus de la moitié de nos patients n'ont pas de revenus. Pour le Docteur, les mesures de la circonférence brachiale et du pli cutané tricipital ont permis de mettre en évidence une dénutrition par diminution de la masse grasse chez 30% des femmes et 40% des hommes.
Selon le score MNA, 50% des patients avaient un risque de dénutrition et 32% étaient dénutris. Seuls 18 patients ont bénéficié d'un dosage simultané de la CRP et de l'albumine. Parmi ces 18 patients, 2 seulement avaient une hypoalbuminémie sans rapport avec un syndrome inflammatoire. Il ajoute que l'apport calorique journalier était inférieur aux besoins énergétiques théoriques dans 88% des cas, un seul patient avait des apports énergétiques supérieurs à ses besoins.
Il termine ces propos en faisant une conclusion en ces termes"La malnutrition est donc fréquente chez les patients hospitalisés en médecine interne. Les apports énergétiques dans notre hôpital sont très souvent insuffisants. Ceci requiert des mesures rectificatives pour améliorer le pronostic de nos patients".
Selon le score MNA, 50% des patients avaient un risque de dénutrition et 32% étaient dénutris. Seuls 18 patients ont bénéficié d'un dosage simultané de la CRP et de l'albumine. Parmi ces 18 patients, 2 seulement avaient une hypoalbuminémie sans rapport avec un syndrome inflammatoire. Il ajoute que l'apport calorique journalier était inférieur aux besoins énergétiques théoriques dans 88% des cas, un seul patient avait des apports énergétiques supérieurs à ses besoins.
Il termine ces propos en faisant une conclusion en ces termes"La malnutrition est donc fréquente chez les patients hospitalisés en médecine interne. Les apports énergétiques dans notre hôpital sont très souvent insuffisants. Ceci requiert des mesures rectificatives pour améliorer le pronostic de nos patients".
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