Seydi Gassama, le secrétaire exécutif d’Amnesty International, dénonce les violences physiques exercées par les forces de l’ordre et parle d’acte criminel sur des innocents. Il appelle le ministre de l'Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye à parler à ses troupes afin d’éviter une situation pire que la pandémie.
« Nous avons été très choqués hier (mardi) par les images que nous avons vues. Des violences policières sans précédant exercées contre des citoyens qui étaient en contravention des mesures édictées par le couvre-feu. Nous voulons simplement dire aux forces de défense et de sécurité, et aux autorités étatiques que l’état d’urgence ne donne en aucune manière le pouvoir aux forces de sécurité, l’atteinte à l’intégrité physique des personnes », martèle le défenseur des Droits de l’Homme.
Selon Seydi Gassama, la seule mesure qu’il faut prendre, c’est d’interpeller les contrevenants, les amener dans les commissariats, et les brigades de police et de gendarmeries en suite de les traduire en justice. Ils n’ont pas le droit de frapper les citoyens, les violenter.
Toutefois, il lance un appel au ministre Aly Ngouille Ndiaye pour que des instructions fermes soient données aux forces de sécurité pour leur dire que cette violence n’est pas acceptée. « Il faudrait que ce pays arrête de penser que tout doit être réglé par la force », dit-il.
« Nous avons été très choqués hier (mardi) par les images que nous avons vues. Des violences policières sans précédant exercées contre des citoyens qui étaient en contravention des mesures édictées par le couvre-feu. Nous voulons simplement dire aux forces de défense et de sécurité, et aux autorités étatiques que l’état d’urgence ne donne en aucune manière le pouvoir aux forces de sécurité, l’atteinte à l’intégrité physique des personnes », martèle le défenseur des Droits de l’Homme.
Selon Seydi Gassama, la seule mesure qu’il faut prendre, c’est d’interpeller les contrevenants, les amener dans les commissariats, et les brigades de police et de gendarmeries en suite de les traduire en justice. Ils n’ont pas le droit de frapper les citoyens, les violenter.
Toutefois, il lance un appel au ministre Aly Ngouille Ndiaye pour que des instructions fermes soient données aux forces de sécurité pour leur dire que cette violence n’est pas acceptée. « Il faudrait que ce pays arrête de penser que tout doit être réglé par la force », dit-il.
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