Le traitement médiatique fait de la décision du Gouvernement de la Guinée équatoriale d'expulser de son territoire tous les étrangers "sans les conditions minimum justifiant ni leur entrée ni leur séjour dans le pays", a fait sortir le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération de son mutisme.
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, les services de communication dudit ministère informent que "Suite aux enquêtes pertinentes menées par les autorités compétentes, il a été établi que les personnes concernées par cette mesure de rapatriement résident en Guinée équatoriale de manière illégale, soit parce qu'elles sont entrées sur le territoire national en dehors des postes frontaliers officiellement autorisés sans passeport ou document de voyage prouvant leur identité, en violation grave de l'article 20.1 de la loi n°. 3/2010, du 30 mai, réglementant le droit des étrangers en Guinée équatoriale, soit sans visa d'entrée dans les cas où les engagements internationaux souscrits par la Guinée équatoriale dans les traités et accords pertinents auxquels elle est partie ne dispensent pas les intéressés de cette obligation, comme le prévoit l'article 20.2 ou l'article 21 de la loi précitée, ou sans permis de séjour temporaire ou permanent au sens des articles 27, 28 et 29 de la même loi".
Le ministère de poursuivre en affirmant: "Après avoir vérifié la présence sur tout le territoire national d'un nombre excessif d'expatriés dans les conditions d'irrégularité manifeste susmentionnées ou sans aucune activité professionnelle indépendante ou salariée qui prouve leur permanence en Guinée équatoriale, il convient d'adopter des mesures visant à corriger cet état de fait. Mesures qui ne sont ni discriminatoires ni arbitraires mais destinées à garantir une coexistence pacifique entre tous".
Selon le Gouvernement, "Cette décision est une compétence souveraine de l'État équato-guinéen similaire à celle qu'ont également adoptée d'autres pays dans des circonstances analogues pour défendre un intérêt essentiel national".
Toutefois, le Gouvernement de la République de Guinée équatoriale a réitéré son engagement à autoriser tant l'entrée que le séjour des étrangers dans le pays, "du moment que ce processus soit mené à bien dans le cadre des normes en vigueur en Guinée équatoriale, et exprime sa profonde reconnaissance et remerciement aux expatriés qui vivent avec nous en développant leurs activités professionnelles en pleine liberté et avec la garantie de leurs droits légitimes, contribuant ainsi au développement de notre pays et à leur propre bien-être personnel et familial".
Il en donne pour preuve l'octroi par le Gouvernement, année après année, de la nationalité équato-guinéenne aux étrangers possédant ces compétences qui en font la demande.
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, les services de communication dudit ministère informent que "Suite aux enquêtes pertinentes menées par les autorités compétentes, il a été établi que les personnes concernées par cette mesure de rapatriement résident en Guinée équatoriale de manière illégale, soit parce qu'elles sont entrées sur le territoire national en dehors des postes frontaliers officiellement autorisés sans passeport ou document de voyage prouvant leur identité, en violation grave de l'article 20.1 de la loi n°. 3/2010, du 30 mai, réglementant le droit des étrangers en Guinée équatoriale, soit sans visa d'entrée dans les cas où les engagements internationaux souscrits par la Guinée équatoriale dans les traités et accords pertinents auxquels elle est partie ne dispensent pas les intéressés de cette obligation, comme le prévoit l'article 20.2 ou l'article 21 de la loi précitée, ou sans permis de séjour temporaire ou permanent au sens des articles 27, 28 et 29 de la même loi".
Le ministère de poursuivre en affirmant: "Après avoir vérifié la présence sur tout le territoire national d'un nombre excessif d'expatriés dans les conditions d'irrégularité manifeste susmentionnées ou sans aucune activité professionnelle indépendante ou salariée qui prouve leur permanence en Guinée équatoriale, il convient d'adopter des mesures visant à corriger cet état de fait. Mesures qui ne sont ni discriminatoires ni arbitraires mais destinées à garantir une coexistence pacifique entre tous".
Selon le Gouvernement, "Cette décision est une compétence souveraine de l'État équato-guinéen similaire à celle qu'ont également adoptée d'autres pays dans des circonstances analogues pour défendre un intérêt essentiel national".
Toutefois, le Gouvernement de la République de Guinée équatoriale a réitéré son engagement à autoriser tant l'entrée que le séjour des étrangers dans le pays, "du moment que ce processus soit mené à bien dans le cadre des normes en vigueur en Guinée équatoriale, et exprime sa profonde reconnaissance et remerciement aux expatriés qui vivent avec nous en développant leurs activités professionnelles en pleine liberté et avec la garantie de leurs droits légitimes, contribuant ainsi au développement de notre pays et à leur propre bien-être personnel et familial".
Il en donne pour preuve l'octroi par le Gouvernement, année après année, de la nationalité équato-guinéenne aux étrangers possédant ces compétences qui en font la demande.
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