Famara Ibrahima Sagna, Président du Comité de pilotage du Dialogue national, interpellé sur les nouveaux membres rajoutés sur le Comité de Pilotage, a apporté des précisions sur cette question. Selon lui, il n’y a "pas de malice" derrière la décision consistant à coopter de nouvelles personnalités.
« J’avoue que, ce que je puis témoigner en tant que président du Comité de pilotage du Dialogue national, c’est qu’il n’y a pas de malice derrière cette décision. Personnellement, je suis intervenu auprès du chef de l’Etat pour que l’on augmente les commissions », a indiqué Famara Ibrahima Sagna.
Selon lui, « trois nouvelles commissions : Modernisation de l’Etat et lutte contre la corruption, Décentralisation et territorialisation des politiques publiques et Synthèse, sont venues porter à huit le nombre total des commissions ».
À en croire M. Sagna, il n’y a aucun calcul politique derrière cette décision. « Si quelqu’un me croit capable de dire la vérité, qu’il accepte ce que je viens de dire. Moi, on ne me manipule pas, personne ne me manipule. J’ai fait 42 ans d’administration, personne ne m’a manipulé et je n’ai manipulé personne. Ce n’est pas après avoir déposé mes bagages (…) que je vais me prêter à des jeux pour gêner Tartempion au profit de Jean ».
Le président Sagna de rappeler qu’après l’installation officielle du Comité de pilotage du Dialogue national, par le président de la République, le 26 décembre 2019, "le temps des réglages des atermoiements, des hésitations, ou des incertitudes est maintenant" derrière eux. Car, précise-t-il, "le temps est venu de commencer un travail à la fois considérable pour son étendue, sa diversité et inédit par son importance, son objectif de transcender tous les clivages et les étocs".
« Cette première réunion va être consacrée à la mise en place d’un calendrier de travail rationnel autant qu’efficace, à la constitution effective des commissions de travail du Comité national, autorisées par le président de la République », dit-il.
« J’avoue que, ce que je puis témoigner en tant que président du Comité de pilotage du Dialogue national, c’est qu’il n’y a pas de malice derrière cette décision. Personnellement, je suis intervenu auprès du chef de l’Etat pour que l’on augmente les commissions », a indiqué Famara Ibrahima Sagna.
Selon lui, « trois nouvelles commissions : Modernisation de l’Etat et lutte contre la corruption, Décentralisation et territorialisation des politiques publiques et Synthèse, sont venues porter à huit le nombre total des commissions ».
À en croire M. Sagna, il n’y a aucun calcul politique derrière cette décision. « Si quelqu’un me croit capable de dire la vérité, qu’il accepte ce que je viens de dire. Moi, on ne me manipule pas, personne ne me manipule. J’ai fait 42 ans d’administration, personne ne m’a manipulé et je n’ai manipulé personne. Ce n’est pas après avoir déposé mes bagages (…) que je vais me prêter à des jeux pour gêner Tartempion au profit de Jean ».
Le président Sagna de rappeler qu’après l’installation officielle du Comité de pilotage du Dialogue national, par le président de la République, le 26 décembre 2019, "le temps des réglages des atermoiements, des hésitations, ou des incertitudes est maintenant" derrière eux. Car, précise-t-il, "le temps est venu de commencer un travail à la fois considérable pour son étendue, sa diversité et inédit par son importance, son objectif de transcender tous les clivages et les étocs".
« Cette première réunion va être consacrée à la mise en place d’un calendrier de travail rationnel autant qu’efficace, à la constitution effective des commissions de travail du Comité national, autorisées par le président de la République », dit-il.
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