Les enseignants mis en position de stage à la Faculté des Sciences et Technologie de l’Éducation et de la Formation (Fastef) ont tenu une conférence de presse ce vendredi 27 septembre devant les locaux de la Fastef. Ils réclament le « paiement de leur bourse » qui selon eux est un droit.
Mamadou Lamine Diouf coordonnateur des chargés de cours mis en position de stage a la Fastef, porte-parole de ce jour, a tenu par la même occasion à apporter des éclaircissements concernant la sortie du chargé de communication de la direction des bourses qui à en croire verse dans le « dilatoire ». Ceci intervient après la première conférence de presse des enseignants stagiaires tenu le 23 septembre passé, allant dans le même sens.
Selon Mamadou Lamine Diouf, la direction des bourses a « voulu mettre la poudre aux yeux de l'opinion en parlant d'indemnités de stage tout en voulant traîner les choses en longueur jusqu'à la fin de session. Leurs propos ne tiennent pas du tout la route ».
Cependant, il rappelle que « l'article 70 du décret numéro 82-518 du 23 juillet 1982 qui stipule qu'une allocation de stage doit être allouée aux fonctionnaires en vue de bénéficier d'une formation leur permettant l'accès aux hiérarchies supérieures en vue d'un perfectionnement destiné à leur permettre d'assurer dans les meilleures conditions, des fonctions qui leur sont dévolues et auxquelles ils ont normalement vocation ».
Par ailleurs, le chargé de cours mis en position de stage déclare que la « direction chargée du versement des allocations que leurs arguments ne tiennent sur aucune base juridique ».
Dans ce même sillage, il dénonce « la discrimination et le mépris dans le traitement de notre dossier ».
Les enseignants stagiaires composés en grande partie de chargés de cours, comptant plus de 300 agents fonctionnaire de l’état réclament « la justice et l'équité dans le paiement des bourses ».
En effet, poursuit-il, « une minorité a été 144 stagiaires au détriment de la majorité que nous constituons, cette injustice doit être réparée », martèle Mamadou Lamine.
En outre, les « stagiaires demandent aux autorités de rétablir au plus vite de leurs droits au risque « d'empêcher le bon déroulement de toutes les activités au niveau de la Fastef du 1er au 12 octobre prochain, c'est-à-dire les examens de fin d'année », a averti le porte-parole du jour.
Mamadou Lamine Diouf coordonnateur des chargés de cours mis en position de stage a la Fastef, porte-parole de ce jour, a tenu par la même occasion à apporter des éclaircissements concernant la sortie du chargé de communication de la direction des bourses qui à en croire verse dans le « dilatoire ». Ceci intervient après la première conférence de presse des enseignants stagiaires tenu le 23 septembre passé, allant dans le même sens.
Selon Mamadou Lamine Diouf, la direction des bourses a « voulu mettre la poudre aux yeux de l'opinion en parlant d'indemnités de stage tout en voulant traîner les choses en longueur jusqu'à la fin de session. Leurs propos ne tiennent pas du tout la route ».
Cependant, il rappelle que « l'article 70 du décret numéro 82-518 du 23 juillet 1982 qui stipule qu'une allocation de stage doit être allouée aux fonctionnaires en vue de bénéficier d'une formation leur permettant l'accès aux hiérarchies supérieures en vue d'un perfectionnement destiné à leur permettre d'assurer dans les meilleures conditions, des fonctions qui leur sont dévolues et auxquelles ils ont normalement vocation ».
Par ailleurs, le chargé de cours mis en position de stage déclare que la « direction chargée du versement des allocations que leurs arguments ne tiennent sur aucune base juridique ».
Dans ce même sillage, il dénonce « la discrimination et le mépris dans le traitement de notre dossier ».
Les enseignants stagiaires composés en grande partie de chargés de cours, comptant plus de 300 agents fonctionnaire de l’état réclament « la justice et l'équité dans le paiement des bourses ».
En effet, poursuit-il, « une minorité a été 144 stagiaires au détriment de la majorité que nous constituons, cette injustice doit être réparée », martèle Mamadou Lamine.
En outre, les « stagiaires demandent aux autorités de rétablir au plus vite de leurs droits au risque « d'empêcher le bon déroulement de toutes les activités au niveau de la Fastef du 1er au 12 octobre prochain, c'est-à-dire les examens de fin d'année », a averti le porte-parole du jour.
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