Québec met fin au mandat de l’ancienne députée libérale Fatima Houda-Pépin à titre de déléguée générale du Québec à Dakar. Cette dernière faisait l’objet d’une enquête interne à la suite de plaintes formulées par des employés, critiquant une gestion déficiente et un climat de travail malsain, rapporte le média canadien "LaPresse".
On ignore cependant si ces informations ont un lien avec la décision du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRI) de mettre fin à son mandat.
Le ministère, dans un communiqué publié vendredi, explique que la décision « de rappel et de remplacement » de Mme Houda-Pépin repose « sur une procédure administrative selon laquelle le gouvernement peut remplacer en tout temps un délégué général sous réserve d’un préavis de trois mois ».
On ajoute que conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels, « les détails de cette décision administrative sont confidentiels ».
Mme Houda-Pépin aurait éprouvé des difficultés à gérer le personnel à sa disposition, rapportait La Presse canadienne en février dernier. La direction du ministère du MRI avait dû intervenir à deux reprises, en dépêchant des équipes à Dakar, pour calmer le jeu et vérifier le bien-fondé de plaintes formulées à son endroit.
Le bureau des sous-ministres du MRI avait jugé nécessaire de déclencher une enquête interne sur le type de gestion pratiqué sous sa gouverne, de même que sur les allégations et plaintes formulées par le personnel.
Des membres de l’équipe ont dénoncé un « climat malsain ». Certains ont démissionné et d’autres ont été congédiés. Certains employés de la délégation l’avaient aussi critiqué pour faire régner un climat de travail « délétère », rapportait Radio-Canada, également en février. Mme Houda-Pepin n’avait pas donné sa version des faits.
Avec La Presse Canadienne
On ignore cependant si ces informations ont un lien avec la décision du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRI) de mettre fin à son mandat.
Le ministère, dans un communiqué publié vendredi, explique que la décision « de rappel et de remplacement » de Mme Houda-Pépin repose « sur une procédure administrative selon laquelle le gouvernement peut remplacer en tout temps un délégué général sous réserve d’un préavis de trois mois ».
On ajoute que conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels, « les détails de cette décision administrative sont confidentiels ».
Mme Houda-Pépin aurait éprouvé des difficultés à gérer le personnel à sa disposition, rapportait La Presse canadienne en février dernier. La direction du ministère du MRI avait dû intervenir à deux reprises, en dépêchant des équipes à Dakar, pour calmer le jeu et vérifier le bien-fondé de plaintes formulées à son endroit.
Le bureau des sous-ministres du MRI avait jugé nécessaire de déclencher une enquête interne sur le type de gestion pratiqué sous sa gouverne, de même que sur les allégations et plaintes formulées par le personnel.
Des membres de l’équipe ont dénoncé un « climat malsain ». Certains ont démissionné et d’autres ont été congédiés. Certains employés de la délégation l’avaient aussi critiqué pour faire régner un climat de travail « délétère », rapportait Radio-Canada, également en février. Mme Houda-Pepin n’avait pas donné sa version des faits.
Avec La Presse Canadienne
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