Cela a permis au public abidjané de savourer le reggae assez Groovy du groupe Long Sheen Dao de la Chine, le répertoire attractif du groupe Turc Satas. Il y a eu des artistes venus d’Ethiopie comme Sydney Salamon, un bon chanteur qui mélange le patois jamaïcain et la langue Ethiopienne l’Amharique. Pour l’Algérie, il y avait le groupe Djmawi-Africa. Le Liban était représenté par la chanteuse Nirna qui a donné l’un des plus beaux concerts du festival à l’image de DAARA J du Sénégal.
Et dans le lot des femmes chanteuses, il faut noter la fille de Lucky Dubé, Nkulee Dubé qui était très attendue et qui a été à la hauteur de l’espoir que le public nourrissait vis à vis d’elle. Sur les 36 groupes programmés venus de la France, de l’Algérie, de la Gambie pour ne citer que ceux-là, 18 ont représenté la Côte d’Ivoire. On peut citer Kajeem, Ismael Isaach et Beta Simon. Le vétéran UROY, était de la partie. Celui qui a gardé intact sa fraicheur vocale des années 70 et 80, a donné un concert mémorable.
No one can stop Jah music! C’est une revendication de sagesse Rastafarienne qui préconise l’évolution au jour le jour de l’Ital Riddim. Un nom donné au reggae par les puristes, référence faite à la nourriture végétarienne des rastaman. Ainsi on a vu sur la scène du palais de la culture d’autres sonorités nouvelles ou anciennes, modernes ou traditionnelles pour renforcer le reggae. La progression organisationnelle de Abi Reggae Festival épousera cet esprit a souligné Zoumana WATTARA, le Directeur du colloque du festival. En effet, l’autre axe majeur de cette troisième édition du festival international de Reggae d’Abidjan c’était aussi le colloque avec ses panels qui ont vu l’intervention de Mutabaruka, du Professeur Congolais Elikra Bokolo et de la journaliste Hélène LEE entre autres.
Le jour, l’esplanade du village du festival proposait une petite scène ou de jeunes groupes se produisaient. C’était le podium rabatteur où les prestataires avec un esprit très fair-play faisaient la promotion de la grande scène nocturne. Le village rasta a existé aussi sans oublier l’exposition des grandes figures rastafariennes.
La grande scène lagunaire implantée dans l’eau avait un caractère attractif : les deux ponts Charles De gaulle et Félix Houphouët Boigny qui la surplombaient laisser voir une circulation routière nocturne et une navigation fluviale avec les bateaux Taxi. Un charme accentué par le panaroma qu’offraient les lumières des immeubles du quartier plateau que l’on apercevait de l’autre côté de la lagune.
Et dans le lot des femmes chanteuses, il faut noter la fille de Lucky Dubé, Nkulee Dubé qui était très attendue et qui a été à la hauteur de l’espoir que le public nourrissait vis à vis d’elle. Sur les 36 groupes programmés venus de la France, de l’Algérie, de la Gambie pour ne citer que ceux-là, 18 ont représenté la Côte d’Ivoire. On peut citer Kajeem, Ismael Isaach et Beta Simon. Le vétéran UROY, était de la partie. Celui qui a gardé intact sa fraicheur vocale des années 70 et 80, a donné un concert mémorable.
No one can stop Jah music! C’est une revendication de sagesse Rastafarienne qui préconise l’évolution au jour le jour de l’Ital Riddim. Un nom donné au reggae par les puristes, référence faite à la nourriture végétarienne des rastaman. Ainsi on a vu sur la scène du palais de la culture d’autres sonorités nouvelles ou anciennes, modernes ou traditionnelles pour renforcer le reggae. La progression organisationnelle de Abi Reggae Festival épousera cet esprit a souligné Zoumana WATTARA, le Directeur du colloque du festival. En effet, l’autre axe majeur de cette troisième édition du festival international de Reggae d’Abidjan c’était aussi le colloque avec ses panels qui ont vu l’intervention de Mutabaruka, du Professeur Congolais Elikra Bokolo et de la journaliste Hélène LEE entre autres.
Le jour, l’esplanade du village du festival proposait une petite scène ou de jeunes groupes se produisaient. C’était le podium rabatteur où les prestataires avec un esprit très fair-play faisaient la promotion de la grande scène nocturne. Le village rasta a existé aussi sans oublier l’exposition des grandes figures rastafariennes.
La grande scène lagunaire implantée dans l’eau avait un caractère attractif : les deux ponts Charles De gaulle et Félix Houphouët Boigny qui la surplombaient laisser voir une circulation routière nocturne et une navigation fluviale avec les bateaux Taxi. Un charme accentué par le panaroma qu’offraient les lumières des immeubles du quartier plateau que l’on apercevait de l’autre côté de la lagune.
Autres articles
-
Afro-Club, le Hit des platines avec DTM, Viviane Chidid et Kalipsxau
-
Projection en avant-première du documentaire sur Me Abdoulaye Wade au cinéma Pathé de Dakar mardi prochain
-
Miss Sénégal 2024 : Mame Fama Gaye de Fatick sacrée
-
SODAV: Ngoné Ndour réélue pour un 3e mandat
-
Fête de la musique : Dakar, également, entend se mettre dans l'ambiance