Le 2ème Sommet sur le financement des infrastructures en Afrique qui avait pour thème "Maintenir l'élan vers des infrastructures de classe mondiale en Afrique" s’est tenu à Dakar les 2 et 3 février 2023.
Les chefs d'État et de gouvernement du Sénégal, du Rwanda, de l'Algérie, et de l'Égypte, les ministres des États membres de l'Union africaine, les chefs et représentants des institutions régionales et continentales, les Partenaires techniques financiers et représentants du secteur privé qui ont pris part au dit sommet ont fait une déclaration dans laquelle un bon nombre de résolutions et de recommandations ont été notées.
Les États membres et les communautés économiques régionales sont invités « à inclure les projets du PIDA dans leurs plans et budgets de développement national et à lier le développement des infrastructures nationales aux infrastructures régionales et continentales ».
Les Etats membres sont appelés, en coordination avec AUDA-NEPAD et les Communautés Economiques Régionales « à renforcer les systèmes d’atténuation des risques pour accélérer l’investissement privé et à renforcer le climat des affaires ».
Aussi, les investisseurs et les Partenaires techniques et financiers sont appelés « à soutenir les États membres de l'UA dans la collecte des ressources nécessaires pour que ces projets deviennent bancables et
demandons l'AUDA-NEPAD de rendre compte des progrès réalisés par le biais des mécanismes de gouvernance de l'UA, lors du prochain sommet ».
Le secteur privé, les investisseurs institutionnels, tels que fonds souverains et les fonds de pension ainsi que les sources de financements innovantes, comme le financement climatique, les obligations vertes et celles de la diaspora sont invités à venir investir dans les projets PIDA.
Les acteurs du Sommet de Dakar demandant « l’augmentation du financement et de la consolidation de services pour la préparation des projets d’infrastructures. Dans ce sens, exhortons les gouvernements africains, les institutions de financement du développement et les partenaires internationaux à augmenter leur appui et leur financement à la préparation des projets d’infrastructures, spécialement le Fonds de Préparation des Projets d’Infrastructures du NEPAD (IPPF) logé à la Banque Africaine de Développement ainsi que le mécanisme de prestation de service (SDM) du PIDA, logé à AUDA-NEPAD ».
Et appellent à la création, au sein de l'AUDA-NEPAD, « d'un fonds fiduciaire multi-donateurs alimenté par les Etats membres de l'UA avec des contributions des partenaires de développement, des IFD, du secteur privé et des BMD »
Ce n’est pas tout. Les Partenaires techniques et financiers, les BMD, les IFD, les fonds de garantie et le secteur bancaire sont invités « à assouplir les conditions de financement notamment la réduction des taux d’intérêt, le relèvement du plafond de l’endettement et du déficit budgétaire ».
Enfin, entre autres recommandations, « AUDA-NEPAD, en coordination avec la CUA, la BAD, les CER de mettre en place un mécanisme de suivi des conclusions de la rencontre de Dakar ». Et la Conférence de l’Union de Africaine est appelée « à inscrire le Sommet de Dakar sur le financement des infrastructures dans l’Agenda des rencontres de l’organisation panafricaine ».
Les chefs d'État et de gouvernement du Sénégal, du Rwanda, de l'Algérie, et de l'Égypte, les ministres des États membres de l'Union africaine, les chefs et représentants des institutions régionales et continentales, les Partenaires techniques financiers et représentants du secteur privé qui ont pris part au dit sommet ont fait une déclaration dans laquelle un bon nombre de résolutions et de recommandations ont été notées.
Les États membres et les communautés économiques régionales sont invités « à inclure les projets du PIDA dans leurs plans et budgets de développement national et à lier le développement des infrastructures nationales aux infrastructures régionales et continentales ».
Les Etats membres sont appelés, en coordination avec AUDA-NEPAD et les Communautés Economiques Régionales « à renforcer les systèmes d’atténuation des risques pour accélérer l’investissement privé et à renforcer le climat des affaires ».
Aussi, les investisseurs et les Partenaires techniques et financiers sont appelés « à soutenir les États membres de l'UA dans la collecte des ressources nécessaires pour que ces projets deviennent bancables et
demandons l'AUDA-NEPAD de rendre compte des progrès réalisés par le biais des mécanismes de gouvernance de l'UA, lors du prochain sommet ».
Le secteur privé, les investisseurs institutionnels, tels que fonds souverains et les fonds de pension ainsi que les sources de financements innovantes, comme le financement climatique, les obligations vertes et celles de la diaspora sont invités à venir investir dans les projets PIDA.
Les acteurs du Sommet de Dakar demandant « l’augmentation du financement et de la consolidation de services pour la préparation des projets d’infrastructures. Dans ce sens, exhortons les gouvernements africains, les institutions de financement du développement et les partenaires internationaux à augmenter leur appui et leur financement à la préparation des projets d’infrastructures, spécialement le Fonds de Préparation des Projets d’Infrastructures du NEPAD (IPPF) logé à la Banque Africaine de Développement ainsi que le mécanisme de prestation de service (SDM) du PIDA, logé à AUDA-NEPAD ».
Et appellent à la création, au sein de l'AUDA-NEPAD, « d'un fonds fiduciaire multi-donateurs alimenté par les Etats membres de l'UA avec des contributions des partenaires de développement, des IFD, du secteur privé et des BMD »
Ce n’est pas tout. Les Partenaires techniques et financiers, les BMD, les IFD, les fonds de garantie et le secteur bancaire sont invités « à assouplir les conditions de financement notamment la réduction des taux d’intérêt, le relèvement du plafond de l’endettement et du déficit budgétaire ».
Enfin, entre autres recommandations, « AUDA-NEPAD, en coordination avec la CUA, la BAD, les CER de mettre en place un mécanisme de suivi des conclusions de la rencontre de Dakar ». Et la Conférence de l’Union de Africaine est appelée « à inscrire le Sommet de Dakar sur le financement des infrastructures dans l’Agenda des rencontres de l’organisation panafricaine ».
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