La LD est, totalement, opposée à la volonté de Me Wade de dégrossir les effectifs la Fonction publique que le Sénégal «ne peut plus se payer le luxe d’entretenir». A en en croire le chargé des Affaires économiques de la Ligue démocratique, son argument est faux puisque le Sénégal est loin d’atteindre la barre fixée par l’UEMOA pouvant conduire à parler de dégrossissement de la Fonction publique.
«La LD a manifesté son désaccord par rapport à cette vision du chef de l’Etat. Elle considère qu’au regard des critères de convergence de l’UEMOA, qui a fixé un ratio où la masse salariale ne doit pas dépasser 35% des ressources budgétaires, le Sénégal ne doit pas être concerné par un dégrossissement de la Fonction publique», a-t-il fait savoir.
C’est pourquoi les Jallarbistes ne comprennent pas «qu’on puisse parler, aujourd’hui, d’effectifs pléthoriques de la Fonction qu’on ne pourrait pas se payer le luxe d’entretenir». Pour le chargé des Affaires économiques du parti du Professeur Abdoulaye Bathily, le problème est ailleurs. «Si aujourd’hui, le Sénégal se trouve dans des difficultés financière, il faudrait les rechercher dans la gestion gabegique de l’Etat, compte tenu de son train de vie dispendieux et de son obstination à ne pas faire la distinction entre les dépenses prioritaires et les dépenses non nécessaires», a-t-il asséné au micro de la Rfm.
«La LD a manifesté son désaccord par rapport à cette vision du chef de l’Etat. Elle considère qu’au regard des critères de convergence de l’UEMOA, qui a fixé un ratio où la masse salariale ne doit pas dépasser 35% des ressources budgétaires, le Sénégal ne doit pas être concerné par un dégrossissement de la Fonction publique», a-t-il fait savoir.
C’est pourquoi les Jallarbistes ne comprennent pas «qu’on puisse parler, aujourd’hui, d’effectifs pléthoriques de la Fonction qu’on ne pourrait pas se payer le luxe d’entretenir». Pour le chargé des Affaires économiques du parti du Professeur Abdoulaye Bathily, le problème est ailleurs. «Si aujourd’hui, le Sénégal se trouve dans des difficultés financière, il faudrait les rechercher dans la gestion gabegique de l’Etat, compte tenu de son train de vie dispendieux et de son obstination à ne pas faire la distinction entre les dépenses prioritaires et les dépenses non nécessaires», a-t-il asséné au micro de la Rfm.
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