Après la démonstration de force du « collectif contre l'exploitation » (LKP), qui mène la grève depuis le 20 janvier en Guadeloupe et a rassemblé samedi entre 9.000 (selon la police) et 50.000 (selon les organisateurs) manifestants, des sources craignaient un durcissement du conflit.
Le LKP a refusé de suivre les élus de gauche qui l'avaient appelé samedi « à un assouplissement de la grève » et à cesser d'obliger les commerces à fermer. « Le mouvement ne s'essouffle pas, il s'amplifie », a prévenu le leader du LKP, Elie Domota, qui a durci le ton, accusant l'Etat de vouloir « tuer les Guadeloupéens » en envoyant des renforts de gendarmes.
Le conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie, a renvoyé les partenaires sociaux à leurs responsabilités face la dégradation de la situation dans l'île, pointant l’attitude du patronat.
Source: RFI
Le LKP a refusé de suivre les élus de gauche qui l'avaient appelé samedi « à un assouplissement de la grève » et à cesser d'obliger les commerces à fermer. « Le mouvement ne s'essouffle pas, il s'amplifie », a prévenu le leader du LKP, Elie Domota, qui a durci le ton, accusant l'Etat de vouloir « tuer les Guadeloupéens » en envoyant des renforts de gendarmes.
Le conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie, a renvoyé les partenaires sociaux à leurs responsabilités face la dégradation de la situation dans l'île, pointant l’attitude du patronat.
Source: RFI
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