La responsable de l'UMP à Colombes et secrétaire d'Etat aux droits de l'homme de la France, Rama Yade étale ses ambitions (Photo:jeansarkozy.org
«Il faut reconquérir Colombes. Je suis disponible pour cette bataille », a déclaré la responsable de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP), par ailleurs, secrétaire d’Etat aux droits de l’homme de l’Etat français, Rama Yade. La française d’origine sénégalaise a fait comprendre à nos confrères du journal français «Le Figaro» qu’elle ne lâcherai pas le nouveau maire PS «qui masque ses reculs en prenant prétexte de la crise économique».
Cette déclaration illustre sa détermination à œuvrer pour un retour en force de l’UMP lors des régionales de 2010 et des élections législatives de 2012 en attendant les municipales de 2014. « Ici, c'est chez moi», a-t-elle martelé. Rama Yade a assuré qu'«elle n'a pas déserté le terrain après la défaite même si elle a été peu présente aux séances du conseil municipal». Selon elle, tout le monde croit qu’elle est restée «prostrée dans son bureau». Ainsi, elle a dit avoir assistée au mois de janvier, à de nombreuses réunions de quartiers. «C'est bien mal me connaître», a-t-elle lancé.
La française d’origine sénégalaise est revenue sur son nom aux européennes. Elle a indiqué que son but n'était pas de gêner le président, ni de le peiner. «Dès le départ je savais que je ne voulais pas aller aux européennes. J'ai temporisé pendant huit mois et puis un jour j'ai dit non», a-t-elle affirmé. Tout en rappelant que qu’elle n’est pas la seule à dire non à Nicolas Sarkozy pour les Européennes en citant les Brice Hortefeux et Valérie Létard qui, selon elle, ont aussi dit non au président et «qu'on n'en a pas fait toute une histoire». «Je ne comprends pas pourquoi tout le monde s'est retourné contre moi», s’est-elle demandée. En tête du classement Ipsos-Le Point des personnalités politiques préférées des Français, Rama Yade ne va pardonner à ceux qui l'ont «étrillée».
Elle a expliqué en ces termes : «ils voudraient que je m'excuse parce que je suis jeune et que je fais de la politique depuis trois ans. J'ai conscience d'avoir des devoirs et je m'efforce de les remplir. Mais je ne demande pas de droits particuliers». La secrétaire d’Etat aux droits de l’homme s’est dite très reconnaissante à ceux qui l’ont soutenue pendant «la tempête» en citant entre autres personnalités Alain Juppé, Édouard Balladur, Charles Pasqua et François Fillon. Elle a, en outre, révélé que le Premier ministre l’a appelée pour lui dire qu’elle aurait dû lui en parler. Aujourd'hui, la préférée de la France «espère que le malentendu est derrière (eux)».
Cette déclaration illustre sa détermination à œuvrer pour un retour en force de l’UMP lors des régionales de 2010 et des élections législatives de 2012 en attendant les municipales de 2014. « Ici, c'est chez moi», a-t-elle martelé. Rama Yade a assuré qu'«elle n'a pas déserté le terrain après la défaite même si elle a été peu présente aux séances du conseil municipal». Selon elle, tout le monde croit qu’elle est restée «prostrée dans son bureau». Ainsi, elle a dit avoir assistée au mois de janvier, à de nombreuses réunions de quartiers. «C'est bien mal me connaître», a-t-elle lancé.
La française d’origine sénégalaise est revenue sur son nom aux européennes. Elle a indiqué que son but n'était pas de gêner le président, ni de le peiner. «Dès le départ je savais que je ne voulais pas aller aux européennes. J'ai temporisé pendant huit mois et puis un jour j'ai dit non», a-t-elle affirmé. Tout en rappelant que qu’elle n’est pas la seule à dire non à Nicolas Sarkozy pour les Européennes en citant les Brice Hortefeux et Valérie Létard qui, selon elle, ont aussi dit non au président et «qu'on n'en a pas fait toute une histoire». «Je ne comprends pas pourquoi tout le monde s'est retourné contre moi», s’est-elle demandée. En tête du classement Ipsos-Le Point des personnalités politiques préférées des Français, Rama Yade ne va pardonner à ceux qui l'ont «étrillée».
Elle a expliqué en ces termes : «ils voudraient que je m'excuse parce que je suis jeune et que je fais de la politique depuis trois ans. J'ai conscience d'avoir des devoirs et je m'efforce de les remplir. Mais je ne demande pas de droits particuliers». La secrétaire d’Etat aux droits de l’homme s’est dite très reconnaissante à ceux qui l’ont soutenue pendant «la tempête» en citant entre autres personnalités Alain Juppé, Édouard Balladur, Charles Pasqua et François Fillon. Elle a, en outre, révélé que le Premier ministre l’a appelée pour lui dire qu’elle aurait dû lui en parler. Aujourd'hui, la préférée de la France «espère que le malentendu est derrière (eux)».
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