Des affrontements violents ont opposé, vendredi, à Libreville, plusieurs milliers de manifestants aux forces de l'ordre. Ces heurts ont éclaté après la dispersion dans la matinée par les forces de l'ordre d'un rassemblement de plusieurs centaines d'opposants qui demandaient la démission du gouvernement du ministre de la Défense Ali Ben Bongo, fils du défunt président Omar Bongo et candidat à la présidentielle du 30 août.
Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes contre les manifestants, qui ont répliqué par des jets de projectiles, a constaté le journaliste de l'Agence France-Presse (AFP). Plusieurs milliers de personnes ont alors rejoint les opposants pour affronter les forces de l'ordre qui ont continué les tirs de gaz lacrymogènes. Plusieurs blessés ont été dénombrés par le journaliste de l'AFP.
Jeudi, une coalition d'une dizaine de candidats à la présidentielle a annoncé pour vendredi une marche afin de demander la démission d'Ali Ben Bongo. Les autorités ont déclaré jeudi soir que cette marche était interdite.
Source: Le Point
Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes contre les manifestants, qui ont répliqué par des jets de projectiles, a constaté le journaliste de l'Agence France-Presse (AFP). Plusieurs milliers de personnes ont alors rejoint les opposants pour affronter les forces de l'ordre qui ont continué les tirs de gaz lacrymogènes. Plusieurs blessés ont été dénombrés par le journaliste de l'AFP.
Jeudi, une coalition d'une dizaine de candidats à la présidentielle a annoncé pour vendredi une marche afin de demander la démission d'Ali Ben Bongo. Les autorités ont déclaré jeudi soir que cette marche était interdite.
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