Dakar Focal City Projet a organisé un atelier de consultation sur la gestion de la vente de la rue. Une initiative qui va permettre aux acteurs de l’économie informelle de s’organiser afin de désengorger l’occupation de la voie publique. Le thème choisi s’articule autour du ‘’partage des compétences pour la gestion de l’espace public et l’encadrement de la vente de rue dans le contexte de la décentralisation’’. Pour le représentant du ministère du Travail Abdoulaye Ndoye, il s’agira d’aider les acteurs de la vente de rue à s’approprier les tenants et les aboutissants de l’acte III de la décentralisation de 2013 pour leur permettre d’en esquisser les opportunités d’action.
« Nous sommes dans un Etat de droit. Les marchands ambulants on le droit d’entreprendre. Mais c’est l’espace qui pose problème. Toutefois, il faut respecter la libre circulation des personnes et des biens. La voie publique est pour tout le monde. Et ils n’ont pas le droit d’exposer leurs marchandises par terre dans les rues », a souligné Abdoulaye Ndoye.
Selon M. Ndoye, la majeure partie de l'économie du pays est puisée au niveau du secteur informel. Et, l’Etat a toujours fait des démarches pour régler le problème des marchands ambulants afin d’apporter des solutions du secteur informelle.
Pour sa part, le président du conseil consultatif des travailleurs de l’économie informelle Adama Sow a salué l’initiative qui réunit aujourd’hui les autorités, les marchands ambulants, et les autorités municipales qui gèrent l’espace public pour essayer de créer un cadre concertation sur la gestion de l’occupation publique.
Toutefois, il tient à signaler que c’est l’absence d’espace qui les pousse à occuper anarchiquement la voie publique, pour gagner le pain quotidien. Ainis, M. Sow appelle l'Etat du Sénégal et les autorités compétentes, à trouver une solution afin qu'ils puissent travailler dans la quiétude.
« Nous sommes dans un Etat de droit. Les marchands ambulants on le droit d’entreprendre. Mais c’est l’espace qui pose problème. Toutefois, il faut respecter la libre circulation des personnes et des biens. La voie publique est pour tout le monde. Et ils n’ont pas le droit d’exposer leurs marchandises par terre dans les rues », a souligné Abdoulaye Ndoye.
Selon M. Ndoye, la majeure partie de l'économie du pays est puisée au niveau du secteur informel. Et, l’Etat a toujours fait des démarches pour régler le problème des marchands ambulants afin d’apporter des solutions du secteur informelle.
Pour sa part, le président du conseil consultatif des travailleurs de l’économie informelle Adama Sow a salué l’initiative qui réunit aujourd’hui les autorités, les marchands ambulants, et les autorités municipales qui gèrent l’espace public pour essayer de créer un cadre concertation sur la gestion de l’occupation publique.
Toutefois, il tient à signaler que c’est l’absence d’espace qui les pousse à occuper anarchiquement la voie publique, pour gagner le pain quotidien. Ainis, M. Sow appelle l'Etat du Sénégal et les autorités compétentes, à trouver une solution afin qu'ils puissent travailler dans la quiétude.
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