Pour expliquer l’échec du dossier de la Casamance, l’AFP pointe du doigt l’inexpertise de Me Abdoulaye Wade. « La gestion du dossier de la Casamance est parasitée par le manque de savoir-faire et le même pilotage à vue » selon les Progressistes qui attestent que les faits sont constants dans ce conflit, qui dure depuis quelque 28 ans, et qui a entraîné le règne de l’insécurité, avec son lot de crimes, d’exactions sur des populations innocentes, plombant ainsi tout développement concerté. Même s’ils estiment qu’il est évident que l’intégrité du territoire national doit être préservée.
Pour Moustapha Niass et ses camarades, «la solution militaire n’ayant pas ouvert la voie de la paix, il est logique que le Sénégal, notre pays, ait recours aux mécanismes et instruments internationaux qui existent comme le Conseil de Sécurité de l’ONU, qui est compétent pour ce genre de situation ».
Car, le fait d’impliquer les parties prenantes directes et les pays voisins concernés est une démarche qui participe d’un schéma global classique éprouvé, avec des phases et un calendrier bien déterminés.
C’est la raison pour laquelle, la sérénité s’impose devant la sensibilité d’un dossier mal géré pendant trop longtemps et qui menace directement les intérêts de notre pays.
Cette incapacité à gérer les conflits internes au Sénégal se ressente à l’Extérieur à en croire aux Progressistes. «Quand un Gouvernement est incapable de trouver des solutions durables à une situation de cette nature qui concerne directement une partie de son territoire, il n’est pas étonnant que les échecs se multiplient aux plans sous-régional, régional et mondial» ont conclu les locataires de la Sicap Sacré cœur dans le communiqué de leur Bureau politique d’hier.
Pour eux, avec les gesticulations de la diplomatie de Me Wade, il sera difficile à un candidat sénégalais à un poste international, quelque soit la consistance de son curriculum vitae, d’avoir gain de cause. « L’avalanche récente de revers au sein de la CEDEAO n’est en fait que la conséquence logique d’un style en porte-à-faux avec les règles les plus élémentaires qui régissent les relations internationales » a jugé l’AFP.
Par ailleurs, les Progressistes soupçonnent d’avoir des arrières pensées sur les biens que laisserait l’armée française en quittant Dakar.
« Le manteau de nationalisme maladroitement emprunté par Me Wade lui-même pour négocier directement avec un ministre le départ des bases françaises du Sénégal, cache mal une volonté d’accaparement des espaces et de certains équipements, à des fins douteuses et inavouées » croit l’AFP.
C’est la raison pour laquelle, elle exige que le régime en place dise aux populations quels sont les projets conçus à cet égard, et quelles sont les procédures prévues. Aussi, le Bureau politique met en garde les spéculateurs véreux qui seraient tentés, une fois de plus, d’être complices de transactions illégales, au détriment du Sénégal. « En temps utile, ces actes seront traités par le droit et la loi » préviennent les Progressistes.
Pour Moustapha Niass et ses camarades, «la solution militaire n’ayant pas ouvert la voie de la paix, il est logique que le Sénégal, notre pays, ait recours aux mécanismes et instruments internationaux qui existent comme le Conseil de Sécurité de l’ONU, qui est compétent pour ce genre de situation ».
Car, le fait d’impliquer les parties prenantes directes et les pays voisins concernés est une démarche qui participe d’un schéma global classique éprouvé, avec des phases et un calendrier bien déterminés.
C’est la raison pour laquelle, la sérénité s’impose devant la sensibilité d’un dossier mal géré pendant trop longtemps et qui menace directement les intérêts de notre pays.
Cette incapacité à gérer les conflits internes au Sénégal se ressente à l’Extérieur à en croire aux Progressistes. «Quand un Gouvernement est incapable de trouver des solutions durables à une situation de cette nature qui concerne directement une partie de son territoire, il n’est pas étonnant que les échecs se multiplient aux plans sous-régional, régional et mondial» ont conclu les locataires de la Sicap Sacré cœur dans le communiqué de leur Bureau politique d’hier.
Pour eux, avec les gesticulations de la diplomatie de Me Wade, il sera difficile à un candidat sénégalais à un poste international, quelque soit la consistance de son curriculum vitae, d’avoir gain de cause. « L’avalanche récente de revers au sein de la CEDEAO n’est en fait que la conséquence logique d’un style en porte-à-faux avec les règles les plus élémentaires qui régissent les relations internationales » a jugé l’AFP.
Par ailleurs, les Progressistes soupçonnent d’avoir des arrières pensées sur les biens que laisserait l’armée française en quittant Dakar.
« Le manteau de nationalisme maladroitement emprunté par Me Wade lui-même pour négocier directement avec un ministre le départ des bases françaises du Sénégal, cache mal une volonté d’accaparement des espaces et de certains équipements, à des fins douteuses et inavouées » croit l’AFP.
C’est la raison pour laquelle, elle exige que le régime en place dise aux populations quels sont les projets conçus à cet égard, et quelles sont les procédures prévues. Aussi, le Bureau politique met en garde les spéculateurs véreux qui seraient tentés, une fois de plus, d’être complices de transactions illégales, au détriment du Sénégal. « En temps utile, ces actes seront traités par le droit et la loi » préviennent les Progressistes.
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