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Grand Serigne de Dakar: l’Imam Ratib de la grande mosquée prêche pour Abdoulaye Makhtar Diop

L’imam ratib de la Grande mosquée de Dakar, Alioune Moussa Samb a donné son camp dans la division pour le titre du grand Serigne de Dakar, entre Abdoulaye Makhtar Diop et Pape Ibrahima Diagne Bassirou. L’imam dit reconnaitre l’ancien ministre des Sports et député, Abdoulaye Makhtar Diop. Il a demandé à ce que les autorités notamment le Président de la République et le Premier ministre qui étaient à la grande mosquée pour la prière de l’Aid-el-Fitr d’en faire autant.



Grand Serigne de Dakar: l’Imam Ratib de la grande mosquée prêche pour Abdoulaye Makhtar Diop
Dans son prêche, il a affirmé devant les fidèles “qu’il ne peut plus appeler Abdoulaye Makhtar Diop par son nom comme il le faisait avant. Maintenant, c’est un dignitaire. Que Le président de la République et son Premier ministre sache qu’il a été choisi par notre communauté. Il est une personnalité qui a du caractère. Il peut diriger car il le mérite et digne. Nous en tant que communauté nous ne sommes pas contre l’Etat. Elle n’a même pas ce droit”
 
L’Imam Ratib de Dakar a tenu à signaler devant notre confrère de la RFM (radio privée) la présence de principaux dignitaires lébou de Dakar. “Je suis l’imam, Alioune Diagne Mbor est le “Ndeye dji reew”, Doudou Gueye Aminata Sambe est là, c’est le président des Frey, Ibra Gueye baye est là aussi. Ce sont ces personnalités qui représentent Dakar. Nous vous invitons à les considérer car il n’y a pas d’autres qui peuvent agir au nom de la communauté léboue. Je suis l’imam ratib de Dakar et seules trois personnalités ont occupé ce poste. Il s’agit: Mactar Sylla Khary Diop, Maodo Sylla et moi-même”.
 
L’Imam de la grande Mosquée de Dakar, Alioue Moussa Samb de décliner la procédure de sélection du grand Serigne de Dakar : «Abdoulaye Makhtar Diop a été choisi par 12 pencc. Chaque Pencc a trois Jamboour, au total cela fait 36 représentants et ce sont eux qui élisent le grand Serigne de Dakar. C’est comme l’Assemblée nationale avec les députés qui votent les lois”.

Jean Louis DJIBA

Vendredi 9 Août 2013 - 14:49


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1.Posté par kathior ka le 10/08/2013 13:15
* Le SAES réclame l'audit de la gestion de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis -14 octobre 2012 -
http://www.lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=21192:le-saes-reclame-laudit-de-la-gestion-de-luniversite-gaston-berger-de-saint-louis&catid=140:actualites

** L'audit administratif et financier de l'Université Gaston Berger (UGB) se fera entre octobre et mars 2013, annonce le recteur Mary Teuw Niane, dans un communiqué reçu à l'APS, Lundi 15 octobre 2012
http://laye_ndoye.seneweb.com/news/Education/le-recteur-de-l-ugb-annonce-un-audit-administratif-et-financier-d-ici-six-mois_n_79068.html

*** UNIVERSITE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS : Le rapport d’audit qui met à nu la gestion de Mary Teuw Niane - Lundi 22 Juillet 2013 -
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
http://www.popxibaar.com/UNIVERSITE-GASTON-BERGER-DE-SAINT-LOUIS-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane_a16505.html

État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen).

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-elles pas les moyens de savoir ce qui se passe?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

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