Une semaine après le début de la grève de la faim des professeurs sortants de la Fastef, la situation commence à être critique. Dix (10) personnes ont été évacuées hier. Malgré tout, les grévistes de la faim affichent leur détermination à aller jusqu’au bout de leur action. Le coordonnateur, Al Fousseyni Keïta de lancer : «Nous réclamons nos ordres de services ». Convaincu que lui et ses camarades sont dans leur droit, Moustapha Keïta a signifié que leur rencontre avec le ministre de l’Education nationale Serigne Mbaye Thiam a échoué parce que ce dernier est venu leur dire des choses inacceptables.
«Le ministre nous a dit que s’il y a des besoins dans le système éducatif, il va nous prendre alors que nous savons qu’il y a un manque de professeurs dans les écoles. Chaque jour, on voit des élèves réclamer des enseignants », soutient le leader des grévistes. Lui et ses camarades dénoncent une injustice à leur égard car plusieurs de leurs promotionnaires ont été affectés au moment où eux courent derrière les autorités depuis 2013.
«Le ministre nous a dit que s’il y a des besoins dans le système éducatif, il va nous prendre alors que nous savons qu’il y a un manque de professeurs dans les écoles. Chaque jour, on voit des élèves réclamer des enseignants », soutient le leader des grévistes. Lui et ses camarades dénoncent une injustice à leur égard car plusieurs de leurs promotionnaires ont été affectés au moment où eux courent derrière les autorités depuis 2013.
Autres articles
-
Économie bleue : le ministre Abdourahmane Sarr présente le compact régional du MCC dans le cadre de la Vision Sénégal 2050
-
La COJAPIS réclame des assises nationales pour résoudre la crise du secteur de la pêche
-
Saint-Louis : célébration du "Magalu Ndamli" du 27 au 30 novembre
-
Guinée Conakry: la Compagnie Air Sénégal poursuivie pour escroquerie et abus de confiance
-
Ségoto-Kédougou : un site d’orpaillage clandestin démantelé par les forces armées