La grève des agents des collectivités locales a été bien suivie à Dakar. Notamment à la commune de Dieuppeul Derklé. Même si un membre du personnel de la mairie affirme le contraire. Il a indiqué qu’à leur niveau les gens travaillent normalement comme d’habitude. «Il n’y a pas eu de mouvement de grève, ni rien du tout, il n’y a eu aucun problème»a-t-il soutenu.
Pourtant, au centre socio culturel de Dieuppeul Derklé où se trouve le centre d’Etat civil de ladite commune, le mot d’ordre a été bien respecté. En effet, sur place, aucun membre du personnel n’est présent. «Il n’y a personne ici» nous dit le gardien du centre. On constate qu’il n’y a pas de trace des agents, les bureaux sont fermés. Le gardien de confier: «je suis là depuis ce matin et je n’ai pas encore vu d’agent. Selon lui, beaucoup de gens sont passés pour déposer des papiers mais ils n’ont trouvé personne.
Alors que le gardien n’a pas fini d’argumenter, Ahmadou Sène, mécanicien de formation, la trentaine bien sonnée, fait son apparition dans le centre. «Bonjour» nous lance-t-il désespérément voyant les portes des deux bureaux du centre d’état civil fermées. Il est venu légaliser ses papiers. Après s’être imprégné de la situation, le mécanicien soutient que «faire une grève n’est pas la solution. Ils devaient penser à la population. Moi par exemple, j’ai laissé mon travail pour venir ici et maintenant je dois attendre 3 jours, la grève c’est vraiment la dernière chose à faire.
L’Intersyndicale des travailleurs des collectivités locales du Sénégal qui regroupe le SNTCL-CNTS, le SUTRACOL-CNTS FC, le SUTMS-UNSAS et le SUDTM-FGTS revendique un statut pour le personnel des collectivités locales.
Pourtant, au centre socio culturel de Dieuppeul Derklé où se trouve le centre d’Etat civil de ladite commune, le mot d’ordre a été bien respecté. En effet, sur place, aucun membre du personnel n’est présent. «Il n’y a personne ici» nous dit le gardien du centre. On constate qu’il n’y a pas de trace des agents, les bureaux sont fermés. Le gardien de confier: «je suis là depuis ce matin et je n’ai pas encore vu d’agent. Selon lui, beaucoup de gens sont passés pour déposer des papiers mais ils n’ont trouvé personne.
Alors que le gardien n’a pas fini d’argumenter, Ahmadou Sène, mécanicien de formation, la trentaine bien sonnée, fait son apparition dans le centre. «Bonjour» nous lance-t-il désespérément voyant les portes des deux bureaux du centre d’état civil fermées. Il est venu légaliser ses papiers. Après s’être imprégné de la situation, le mécanicien soutient que «faire une grève n’est pas la solution. Ils devaient penser à la population. Moi par exemple, j’ai laissé mon travail pour venir ici et maintenant je dois attendre 3 jours, la grève c’est vraiment la dernière chose à faire.
L’Intersyndicale des travailleurs des collectivités locales du Sénégal qui regroupe le SNTCL-CNTS, le SUTRACOL-CNTS FC, le SUTMS-UNSAS et le SUDTM-FGTS revendique un statut pour le personnel des collectivités locales.
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