Les perturbations ont repris de plus bel à l’Hôpital Général de Grand Yoff (HOGGY). Le personnel a mis au point un plan d’actions qui sera exécuté à partir de ce jeudi 4 juin. Il va démarrer par une marche à travers les artères de capitale de Dakar. Après, c’est une grève de 48h qui est prévue du 8 au 9 juin. «La situation est liée à un problème de gestion sur le plan interne. Même s’il faut reconnaître les efforts de l’Etat en matière d’appui financier, il faut souligner que le peu de ressources dont nous disposons est en train d’être dilapidé», a déclaré le secrétaire général adjoint de SUTSAS de HOGGY, Cheikh Seck.
Le syndicaliste de décliner ainsi leur plan d’actions : «au de-là du 3 juin, c’est une campagne d’affichage et d’information à travers toute la région de Dakar. Après une marche sera organisée le jeudi. Ensuite, nous allons procéder à une grève de 48 heures le lundi 8 et le mardi 9 juin».
Cheikh Seck a indiqué que «HOGGY est un hôpital où il est quasi impossible d’exécuter les programmes opératoires de la façon la plus correcte. Ce sont des consommables qui manquent et les choses les plus élémentaires».
Le syndicaliste et kinésithérapeute se lamente sur leur situation. «C’est une situation qui est extrêmement difficile. Les gens n’ont pas une orientation par rapport à la priorité de l’hôpital. Maintenant, il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités».
Pour rappel, l’Etat du Sénégal traîne une ardoise de plus 15 milliards. Une dette qu’il doit aux structures sanitaires et qui étouffe une bonne partie de ces hôpitaux.
Le syndicaliste de décliner ainsi leur plan d’actions : «au de-là du 3 juin, c’est une campagne d’affichage et d’information à travers toute la région de Dakar. Après une marche sera organisée le jeudi. Ensuite, nous allons procéder à une grève de 48 heures le lundi 8 et le mardi 9 juin».
Cheikh Seck a indiqué que «HOGGY est un hôpital où il est quasi impossible d’exécuter les programmes opératoires de la façon la plus correcte. Ce sont des consommables qui manquent et les choses les plus élémentaires».
Le syndicaliste et kinésithérapeute se lamente sur leur situation. «C’est une situation qui est extrêmement difficile. Les gens n’ont pas une orientation par rapport à la priorité de l’hôpital. Maintenant, il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités».
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