Le "Projet Investir dans les Premières Années pour le développement Humain au Sénégal (PIPADHS)" est un financement de de 75 millions de dollars, qui a pour objectif d’améliorer les services de développement de la petite enfance au Sénégal, en particulier dans les zones les moins desservies.
Selon un document des services de communication de la Banque mondiale parvenu à la rédaction de PressAfrik, "c’est durant les premières années, de la conception à l’âge de 5 ans, que la capacité intellectuelle et psychosociale d’un individu s’installe. Ainsi, pour améliorer les performances scolaires des enfants et, partant les revenus dans le futur, il est nécessaire de leur assurer l’accès à des services de santé et de nutrition de qualité, ainsi qu’à des opportunités de stimulation et d’apprentissage précoce, surtout durant les 1000 premiers jours".
Ledit document d'ajouter que'"En raison de ce développement rapide et complexe, les premières années constituent aussi une période sensible durant laquelle des perturbations et insuffisances externes deviennent rapidement irréversibles. D’où l’importance de protéger les jeunes enfants et les femmes enceintes contre toute sources de stresse et contre toute formes de violence"
Ce projet s'appuiera sur la nutrition et sera basé sur les résultats obtenus au cours des 15 dernières années par le Gouvernement à travers le Programme de Renforcement de la Nutrition (PRN) de la Cellule de Lutte contre la Malnutrition en élargissant les interventions réussies pour améliorer la nutrition infantile et la stimulation précoce, en particulier au cours des 1 000 premiers jours.
Selon un document des services de communication de la Banque mondiale parvenu à la rédaction de PressAfrik, "c’est durant les premières années, de la conception à l’âge de 5 ans, que la capacité intellectuelle et psychosociale d’un individu s’installe. Ainsi, pour améliorer les performances scolaires des enfants et, partant les revenus dans le futur, il est nécessaire de leur assurer l’accès à des services de santé et de nutrition de qualité, ainsi qu’à des opportunités de stimulation et d’apprentissage précoce, surtout durant les 1000 premiers jours".
Ledit document d'ajouter que'"En raison de ce développement rapide et complexe, les premières années constituent aussi une période sensible durant laquelle des perturbations et insuffisances externes deviennent rapidement irréversibles. D’où l’importance de protéger les jeunes enfants et les femmes enceintes contre toute sources de stresse et contre toute formes de violence"
Ce projet s'appuiera sur la nutrition et sera basé sur les résultats obtenus au cours des 15 dernières années par le Gouvernement à travers le Programme de Renforcement de la Nutrition (PRN) de la Cellule de Lutte contre la Malnutrition en élargissant les interventions réussies pour améliorer la nutrition infantile et la stimulation précoce, en particulier au cours des 1 000 premiers jours.
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)