Le Groupe international de contact sur la Guinée (GIC-G) a tenu hier, 13 décembre sa 9e rencontre à Ouagadougou où il a échangé avec les Forces vives de Guinée et le CNDD. Le GIC-G, coprésidé par la CEDEAO et l’UA, regroupe outre ces deux institutions, les Nations unies, l’Union européenne, l’Organisation internationale de la francophonie.
En outre, la non-candidature du CNDD, la formation d’une autorité consensuelle de transition en vue d’organiser des élections libres, transparentes et impartiales, la libération urgente des personnes détenues en violation des droits de l’Hommes sont des recommandations (déjà exigées par les Forces vives) prises par le Groupe. «Le Groupe invite les Forces de défense et de sécurité à s’inscrire positivement dans un processus de transition démocratique et à œuvrer au respect des valeurs républicaines en Guinée», ajoute le communiqué.
A la lecture du communiqué final de la rencontre, le CNDD n’était plus présent. Nous n’avons pu interviewer que les responsables des Forces vives. «La situation se dégrade de jour en jour. Tout le monde devrait réfléchir très rapidement pour trouver une situation de sortie de crise. Il n’est plus question de s’arcbouter sur quoi que ce soit», soutient Sidya Touré.
A propos de la cohabitation CNDD – Forces vives dans le gouvernement consensuel de transition, Ibahima Fofana déclare : «Je crois qu’il ne faut plus parler de CNDD en la matière. Il faut parler de Forces de défense et de sécurité qui ont leur place dans la transition en Guinée». Cellou Délain Diallo lui, souhaite qu’aucun, ni du CNDD, ni des partis politiques, ne fasse partie de ce gouvernement consensuel qui, selon lui, pour toute impartialité et neutralité, doit être formé des organisations de la société civile et autres secteurs.
En attendant la tenue de sa prochaine session en janvier 2010, le GIC-G encourage le médiateur Blaise Compaoré à poursuivre ses efforts en tenant compte des décisions pertinentes de la CEDEAO et de l’UA, en vue de parvenir à un accord acceptable par les parties.
A l’ouverture des travaux, le coprésident du GIC-G, président de la commission de la CEDEAO, Mohamed Ibn Chambas, avait souhaité que le Groupe puisse proposer le déploiement d’une force de protection des civils et d’assistance humanitaire, vue la situation grave d’insécurité grandissante.
En outre, la non-candidature du CNDD, la formation d’une autorité consensuelle de transition en vue d’organiser des élections libres, transparentes et impartiales, la libération urgente des personnes détenues en violation des droits de l’Hommes sont des recommandations (déjà exigées par les Forces vives) prises par le Groupe. «Le Groupe invite les Forces de défense et de sécurité à s’inscrire positivement dans un processus de transition démocratique et à œuvrer au respect des valeurs républicaines en Guinée», ajoute le communiqué.
A la lecture du communiqué final de la rencontre, le CNDD n’était plus présent. Nous n’avons pu interviewer que les responsables des Forces vives. «La situation se dégrade de jour en jour. Tout le monde devrait réfléchir très rapidement pour trouver une situation de sortie de crise. Il n’est plus question de s’arcbouter sur quoi que ce soit», soutient Sidya Touré.
A propos de la cohabitation CNDD – Forces vives dans le gouvernement consensuel de transition, Ibahima Fofana déclare : «Je crois qu’il ne faut plus parler de CNDD en la matière. Il faut parler de Forces de défense et de sécurité qui ont leur place dans la transition en Guinée». Cellou Délain Diallo lui, souhaite qu’aucun, ni du CNDD, ni des partis politiques, ne fasse partie de ce gouvernement consensuel qui, selon lui, pour toute impartialité et neutralité, doit être formé des organisations de la société civile et autres secteurs.
En attendant la tenue de sa prochaine session en janvier 2010, le GIC-G encourage le médiateur Blaise Compaoré à poursuivre ses efforts en tenant compte des décisions pertinentes de la CEDEAO et de l’UA, en vue de parvenir à un accord acceptable par les parties.
A l’ouverture des travaux, le coprésident du GIC-G, président de la commission de la CEDEAO, Mohamed Ibn Chambas, avait souhaité que le Groupe puisse proposer le déploiement d’une force de protection des civils et d’assistance humanitaire, vue la situation grave d’insécurité grandissante.
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