Le directeur du Commerce intérieur, Ousmane Mbaye n’est pas d’avis pour la hausse du prix du pain. Pour lui, ce serait léser les consommateurs de petite bourse. Il l’a fait savoir lors d’un entretien avec Enquête.
M. Mbaye de rappeler qu’au Sénégal, le prix du pain a été homologué depuis 2014, avec l’arrêté ministériel « n°8262 en date du 19 mai 2014. Portant homologation des prix plafond du pain à Dakar ». Ainsi, la baguette de 190 g est fixée à 150 F CFA, celle de 125 g à 100 F CFA, et celle de 60 g à 50 F CFA.
Il s’agit, selon le directeur du Commerce intérieur (DCI), des cellules de ministère de Commerce, avec à l’appui de tous les éléments qui pourraient justifier un texte de réajustement, soit à la hausse ou à la baisse.
« Aujourd’hui, à l’examen des différents élements qui entrent dans la production du pain, nous n'en avons pas un seul dont le prix est revu à la hausse. Au contraire, nous avons noté que la farine, l’électricité et le carburant ont vu leur prix baisser, sans pour autant que cela ne soit pris en compte dans le prix du pain, qui a été adminitré depuis mai 2014 », souligne Ousmane Mbaye.
L’autorité déclare que « les boulangers ne peuvent pas, du jour au lendemain, procéder à une hausse du prix du pain. Ils risquent de se confronter à la rigueur de la loi ». Pour le DCI, toute vente de pain au prix supérieur à 150 F CFA pour la baguette de 190 g sera considérée comme une pratique « illicite ». Auquel cas, dit-il, « elle sera sanctionnée conformément à la loi ».
M. Mbaye de rappeler qu’au Sénégal, le prix du pain a été homologué depuis 2014, avec l’arrêté ministériel « n°8262 en date du 19 mai 2014. Portant homologation des prix plafond du pain à Dakar ». Ainsi, la baguette de 190 g est fixée à 150 F CFA, celle de 125 g à 100 F CFA, et celle de 60 g à 50 F CFA.
Il s’agit, selon le directeur du Commerce intérieur (DCI), des cellules de ministère de Commerce, avec à l’appui de tous les éléments qui pourraient justifier un texte de réajustement, soit à la hausse ou à la baisse.
« Aujourd’hui, à l’examen des différents élements qui entrent dans la production du pain, nous n'en avons pas un seul dont le prix est revu à la hausse. Au contraire, nous avons noté que la farine, l’électricité et le carburant ont vu leur prix baisser, sans pour autant que cela ne soit pris en compte dans le prix du pain, qui a été adminitré depuis mai 2014 », souligne Ousmane Mbaye.
L’autorité déclare que « les boulangers ne peuvent pas, du jour au lendemain, procéder à une hausse du prix du pain. Ils risquent de se confronter à la rigueur de la loi ». Pour le DCI, toute vente de pain au prix supérieur à 150 F CFA pour la baguette de 190 g sera considérée comme une pratique « illicite ». Auquel cas, dit-il, « elle sera sanctionnée conformément à la loi ».
Autres articles
-
Ross Béthio : Le SELS demande une enquête après la distribution de cahiers à l'effigie de Diomaye et Sonko dans une école
-
Alioune Tine aux candidats : "Entre acteurs politiques, les adversaires ne sont pas des ennemis à abattre"
-
Insertion professionnelle des jeunes : le Sénégal veut former 700 000 jeunes d’ici 2029
-
Législatives au Sénégal : le Haut-Commissariat des Nations Unies déploie 50 observateurs
-
Diabète : taux de mortalité chez les enfants passe de 2,9 % en 2016 à environ 6,7 % en 2024