Mamadou Mbodj secrétaitre executif du Forum Civil
Les retraités de l’IPRES disent ne pas être satisfaits des explications qu’on leur a fournies concernant cette affaire. Et Mame Birame Faye de poursuivre à cet effet, «nous sommes disposés à faire des investigations sur cette transaction et cette vente qui se font à travers des consultations à domicile». Les retraités et personnes âgées ne démordent pas et envisagent de tenir une réunion dans les plus brefs délais pour décider des actions à tenir contre ces nébuleuses transactions.
Selon Mame Birame Faye, les retraités et personnes âgées sont habités par la hantise de revivre la situation de 1992 où il y avait une cessation de paiement à l’IPRES.
« Cette affaire est plus que scandaleuse » a estimé le secrétaire exécutif du Forum Civil, Mohamed Mbodj représentant à Dakar de Transparency International. Il a expliqué cette nébuleuse par «l’ancrage dans l’opacité devenue une constante au Sénégal depuis plus de 8 ans». Interrogé par la Radio Sud FM, Mohamed Mbodj n’a pas manqué de rappeler «la vente des actions de la SONATEL révélée par le Populaire il y a quelques mois».
Le représentant de Transparency Internationale a estimé que «la culture de non transparence et des transactions très douteuses dans le champ des affaires publiques » sont très fréquentes dans ce régime de l’alternance. Il est donc grand temps de tirer les leçons dans la façon de gérer ce pays par le régime en place au lieu de s’attendre à ce qu’il «change d’attitude».
Au regard de l’évolution de la corruption et de la mal gouvernance, le Forum Civil s’est demandé à ce jour l’utilité de l’alternance.
Le Sénégal n’a pas évolué d’un iota dans l’indice de perception de la corruption de Tranparency International, a indiqué Mamadou Mbodj. «Dans le classement mondial, le pays de la Téranga occupe le même rang qu’il occupait en 1999» a-t-il rappelé. Pis, a-t-il poursuivi, «les nouveaux partenaires privilégiés du Sénégal sont les pays les plus corrupteurs du monde ».
Le secrétaire exécutif du Forum civil a expliqué que «la généralisation de la corruption et de la mal gouvernance risque d’hypothéquer l’avenir du Sénégal et les coupables auront comme préoccupation d’empêcher une nouvelle forme d’alternance». Selon lui, «il faut pour l’éviter travailler pour que le jeu politique démocratique soit plus ouvert, plus transparent, que l’expression du suffrage sénégalais puisse conduire à des changements au sommet de l’Etat».
Selon Mame Birame Faye, les retraités et personnes âgées sont habités par la hantise de revivre la situation de 1992 où il y avait une cessation de paiement à l’IPRES.
« Cette affaire est plus que scandaleuse » a estimé le secrétaire exécutif du Forum Civil, Mohamed Mbodj représentant à Dakar de Transparency International. Il a expliqué cette nébuleuse par «l’ancrage dans l’opacité devenue une constante au Sénégal depuis plus de 8 ans». Interrogé par la Radio Sud FM, Mohamed Mbodj n’a pas manqué de rappeler «la vente des actions de la SONATEL révélée par le Populaire il y a quelques mois».
Le représentant de Transparency Internationale a estimé que «la culture de non transparence et des transactions très douteuses dans le champ des affaires publiques » sont très fréquentes dans ce régime de l’alternance. Il est donc grand temps de tirer les leçons dans la façon de gérer ce pays par le régime en place au lieu de s’attendre à ce qu’il «change d’attitude».
Au regard de l’évolution de la corruption et de la mal gouvernance, le Forum Civil s’est demandé à ce jour l’utilité de l’alternance.
Le Sénégal n’a pas évolué d’un iota dans l’indice de perception de la corruption de Tranparency International, a indiqué Mamadou Mbodj. «Dans le classement mondial, le pays de la Téranga occupe le même rang qu’il occupait en 1999» a-t-il rappelé. Pis, a-t-il poursuivi, «les nouveaux partenaires privilégiés du Sénégal sont les pays les plus corrupteurs du monde ».
Le secrétaire exécutif du Forum civil a expliqué que «la généralisation de la corruption et de la mal gouvernance risque d’hypothéquer l’avenir du Sénégal et les coupables auront comme préoccupation d’empêcher une nouvelle forme d’alternance». Selon lui, «il faut pour l’éviter travailler pour que le jeu politique démocratique soit plus ouvert, plus transparent, que l’expression du suffrage sénégalais puisse conduire à des changements au sommet de l’Etat».
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