« Face aux dérives autoritaires des pouvoirs publics de plus en plus notées qui entravent l’exercice des libertés publiques, individuelles et collectives », le mouvement Taxaw Temm rappelle que «les droits de manifestation et d’association sont des droits fondamentaux garantis par la CONSTITUTION et appelle à leur respect absolu ». Pis, « la répression récente injuste et disproportionnée des défenseurs du littoral contre le mur de l’Ambassade de Turquie».
Toutefois, «sans pour autant ignorer les enjeux de communication politique qu’offrent le sommet de la Francophonie, que le PDS et ses alliés veulent exploiter pour mettre la pression sur les procédures de CREI (Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite) ». Mieux, pour ledit mouvement, « le respect de la Constitution, la sécurité publique, et comme du reste le nettoyage et l’embellissements réguliers les villes du pays, doivent être des obligations constantes au-delà de la préoccupation de tenir un sommet sans incident ».
Dès lors, «sous réserve du respect des lois et règlements en vigueur ainsi que de l’ordre public », la Direction exécutive provisoire de la formation du Pr Ibrahima Fall de préciser « qu’il n’appartient pas aux pouvoirs publics de dicter le calendrier des manifestations aux citoyens ou aux partis politiques ». Et «qu’en la matière, l’autorité publique est seulement juge de la légalité et non juge de l’opportunité ».
Toutefois, «sans pour autant ignorer les enjeux de communication politique qu’offrent le sommet de la Francophonie, que le PDS et ses alliés veulent exploiter pour mettre la pression sur les procédures de CREI (Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite) ». Mieux, pour ledit mouvement, « le respect de la Constitution, la sécurité publique, et comme du reste le nettoyage et l’embellissements réguliers les villes du pays, doivent être des obligations constantes au-delà de la préoccupation de tenir un sommet sans incident ».
Dès lors, «sous réserve du respect des lois et règlements en vigueur ainsi que de l’ordre public », la Direction exécutive provisoire de la formation du Pr Ibrahima Fall de préciser « qu’il n’appartient pas aux pouvoirs publics de dicter le calendrier des manifestations aux citoyens ou aux partis politiques ». Et «qu’en la matière, l’autorité publique est seulement juge de la légalité et non juge de l’opportunité ».
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