Les périodes hivernales ont toujours été un véritable calvaire pour les banlieusards. A Diamaguène, les dernières précipitations ont entrainé des dégâts collatéraux. Des quartiers de Darou Salam à Diamaguène, en passant par Wakhinane, la quasi-totalité des routes sont envahies par les eaux usées, rendant ainsi impraticables et chaotiques ces voies de communication. Sur la fameuse route de « Ndiago bar » qui longe le quartier Darou Salam et débouche sur la route nationale après avoir traversé la place publique et le marché de Diamaguène, les habitants sont impactés par les eaux des dernières pluies.
Le calvaire des habitants !
Après la pluie, ces ménages passent très souvent des nuits blanches à évacuer les eaux de leurs concessions inondées « Vraiment, nous vivons une situation très difficile. Après chaque pluie, nos maisons sont inondées. L’eau accède jusque dans nos chambres et la véranda. Parfois je suis obligée d’installer des briques pour accéder à l’intérieur de la maison mais bientôt, nous serons obligés de déménager s’il continue de pleuvoir » a laissé entendre Mame Fatou Diop, une mère de famille occupée entre sa maison et sa table installée devant sa maison où elle vend des arachides grillées et des « Madd ».
Des eaux de fosses septiques qui se déversent sur la voie publique
Les pluies ont causé d’énormes dégâts à Diamaguène, rendant inaccessibles certaines zones de la commune éponyme comme Wakhinane, Sam-Sam entre autres. La hantise des inondations fait que ici, paradoxalement, les chefs de famille prient pour que l’hivernage… ne soit pas pluvieux ! « Nos maison sont inondées, les routes n’en parlons pas. L’Etat ne fait rien pour nous venir en aide. Il ne nous reste qu’à prier. Sinon ça risque d’être beaucoup plus compliqué pour nous » convie un vieillard qui habite au quartier Dioubo.
Le phénomène est récurrent ! Dans la populeuse commune de Diamaguène comme dans plusieurs localités de la banlieue, des habitants, peu soucieux de l’environnement, profitent des grandes averses pour vider leurs fosses septiques sur la voie publique. Ce qui est source de beaucoup de maladies pour les enfants. Surtout en ces temps de pandémie. Par exemple, au quartier Dioubo, il faut se pincer le nez. « Ça pue comme pas possible… C’est regrettable de voir les gens profiter des pluies pour vider leurs fosses. Si on ne peut pas nettoyer la route, pourquoi la salir. Ceux qui le font ne sont pas conscients des problèmes auxquels ils exposent les gens. Ils ne pensent même pas à leurs enfants qui jouent dans les rues » se désole Diathé Ba qui interpelle les agents du Service d’hygiène à sévir.
Le Témoin
Le calvaire des habitants !
Après la pluie, ces ménages passent très souvent des nuits blanches à évacuer les eaux de leurs concessions inondées « Vraiment, nous vivons une situation très difficile. Après chaque pluie, nos maisons sont inondées. L’eau accède jusque dans nos chambres et la véranda. Parfois je suis obligée d’installer des briques pour accéder à l’intérieur de la maison mais bientôt, nous serons obligés de déménager s’il continue de pleuvoir » a laissé entendre Mame Fatou Diop, une mère de famille occupée entre sa maison et sa table installée devant sa maison où elle vend des arachides grillées et des « Madd ».
Des eaux de fosses septiques qui se déversent sur la voie publique
Les pluies ont causé d’énormes dégâts à Diamaguène, rendant inaccessibles certaines zones de la commune éponyme comme Wakhinane, Sam-Sam entre autres. La hantise des inondations fait que ici, paradoxalement, les chefs de famille prient pour que l’hivernage… ne soit pas pluvieux ! « Nos maison sont inondées, les routes n’en parlons pas. L’Etat ne fait rien pour nous venir en aide. Il ne nous reste qu’à prier. Sinon ça risque d’être beaucoup plus compliqué pour nous » convie un vieillard qui habite au quartier Dioubo.
Le phénomène est récurrent ! Dans la populeuse commune de Diamaguène comme dans plusieurs localités de la banlieue, des habitants, peu soucieux de l’environnement, profitent des grandes averses pour vider leurs fosses septiques sur la voie publique. Ce qui est source de beaucoup de maladies pour les enfants. Surtout en ces temps de pandémie. Par exemple, au quartier Dioubo, il faut se pincer le nez. « Ça pue comme pas possible… C’est regrettable de voir les gens profiter des pluies pour vider leurs fosses. Si on ne peut pas nettoyer la route, pourquoi la salir. Ceux qui le font ne sont pas conscients des problèmes auxquels ils exposent les gens. Ils ne pensent même pas à leurs enfants qui jouent dans les rues » se désole Diathé Ba qui interpelle les agents du Service d’hygiène à sévir.
Le Témoin
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