L'explosion s'est produite dans le centre de Bagdad vers 7 h30 heure locale, ce 17 août, et le bilan est très lourd : près de 60 morts selon le ministère de la Défense irakien.
C'est un kamikaze qui a activé sa veste remplie d'explosifs au milieu d'un groupe de soldats irakiens. Des soldats qui étaient regroupés tout près de leur centre de recrutement, d'où le nombre de victimes très élevé.
Le secteur est pourtant sous le contrôle de l'armée. Il y avait bien un contrôle électronique et une procédure de fouille au corps, mais le kamikaze est passé au travers, peut être en se cachant sur les lieux dès hier au soir.
C'est un coup dur pour l'armée irakienne, visée une fois de plus alors qu'elle devra assurer seule la sécurité du pays après le départ des troupes combattantes américaines le 31 août prochain. Une armée sous-équipée, et qui ne sera pleinement opérationnelle, selon son général en chef, qu'en 2020.
L'explosion intervient également au lendemain de la rupture des négociations entre les deux principales formations politiques irakiennes. Il n' y a toujours pas de gouvernement définitif et ce vide politique pourrait favoriser la recrudescence des violences intercommunautaires.
C'est un kamikaze qui a activé sa veste remplie d'explosifs au milieu d'un groupe de soldats irakiens. Des soldats qui étaient regroupés tout près de leur centre de recrutement, d'où le nombre de victimes très élevé.
Le secteur est pourtant sous le contrôle de l'armée. Il y avait bien un contrôle électronique et une procédure de fouille au corps, mais le kamikaze est passé au travers, peut être en se cachant sur les lieux dès hier au soir.
C'est un coup dur pour l'armée irakienne, visée une fois de plus alors qu'elle devra assurer seule la sécurité du pays après le départ des troupes combattantes américaines le 31 août prochain. Une armée sous-équipée, et qui ne sera pleinement opérationnelle, selon son général en chef, qu'en 2020.
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