Des candidats à l'émigration (photo: partenia.org)
Dans la matinée, la police laissait les clandestins manifester sans intervenir en raison du fait, selon un porte-parole du ministère italien de l’Intérieur, que « l’obligation de permanence dans les centres de premier accueil n’est pas prévue ». Autant dire que c’est une nouvelle surprenante pour les journalistes en Italie.
Plus de mille clandestins, sur les mille trois cents qui sont hébergés dans le centre de Lampedusa depuis ces derniers jours, ont rejoint la place de la mairie en scandant ce slogan : « Liberté, aidez-nous ! ».
La situation demeure très tendue
Concrètement, ce qu’ils demandent, c’est d’être transférés vers le centre d’accueil de Brindisi, dans les Pouilles, parce qu’ils disent être maltraités dans celui de Lampedusa, mais aussi de pouvoir rejoindre les membres de leurs familles dont beaucoup sont en France, en Allemagne ou encore dans le nord de l’Italie.
Ils protestent aussi contre la décision du ministre de l’Intérieur, Roberto Maroni, de construire un nouveau centre d’identification et d’expulsion à Lampedusa même (où se situe un aéroport) afin d’expulser directement de cette île les clandestins qui ne peuvent obtenir le statut de réfugié.
Sur ce point, leur protestation est soutenue par les six mille habitants de Lampedusa qui vivent essentiellement du tourisme et de la pêche. Pour toutes ces raisons, la situation demeure très tendue sur cette île de 20 km².
Source: Rfi
Plus de mille clandestins, sur les mille trois cents qui sont hébergés dans le centre de Lampedusa depuis ces derniers jours, ont rejoint la place de la mairie en scandant ce slogan : « Liberté, aidez-nous ! ».
La situation demeure très tendue
Concrètement, ce qu’ils demandent, c’est d’être transférés vers le centre d’accueil de Brindisi, dans les Pouilles, parce qu’ils disent être maltraités dans celui de Lampedusa, mais aussi de pouvoir rejoindre les membres de leurs familles dont beaucoup sont en France, en Allemagne ou encore dans le nord de l’Italie.
Ils protestent aussi contre la décision du ministre de l’Intérieur, Roberto Maroni, de construire un nouveau centre d’identification et d’expulsion à Lampedusa même (où se situe un aéroport) afin d’expulser directement de cette île les clandestins qui ne peuvent obtenir le statut de réfugié.
Sur ce point, leur protestation est soutenue par les six mille habitants de Lampedusa qui vivent essentiellement du tourisme et de la pêche. Pour toutes ces raisons, la situation demeure très tendue sur cette île de 20 km².
Source: Rfi
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