Il s’agissait d’exposer « le parcours, d’abord de l’enfant, de l’adolescente puis de la jeune fille que Kuhito avait été ; ensuite de la femme, de l’épouse et de la mère qu’elle était ; et enfin de la reine dont elle devait arborer le sacerdoce jusqu’à sa mort en 1968, à Tendouck, chef-lieu de son royaume ».
Et celui que se présente aussi comme Secrétaire Général du MFDC, de considérer comme le conférencier que « Kuhito n’appartenait pas qu’à Tendouck. Elle appartenait aussi au Blouf, à Bignona, à la Casamance, au Sénégal, à l’Afrique. Exactement comme la reine Aline Sitowé Diatta de Cabrousse et le roi Sihalébé Diatta d’Oussouye, entre autres figures de la résistance en Casamance ».
« Or, qu’est-ce que c’est qu’honorer nos héroïnes et nos héros, sinon les réclamer ? N’est-ce pas, en l’occurrence, les honorer que de réclamer la restitution à la Casamance (et donc au Sénégal ) des restes de la reine Aline Sitowé Diatta, (portée disparue à Tombouctou) et de ceux du roi Sihalébé Diatta (qui trônent en « bonne place » au Muséum de Paris sous le numéro 19822), la reine Kuhito, pour sa part, fort heureusement, ayant été inhumée à Tendouck avec tous les honneurs qui lui étaient dus », renseigne Jean-Marie François Biagui.
M. Biagui de se nourrir d’espoir car « Kuhito avait prédit la survenance de cette autre guerre, celle qui meurtrit la Casamance depuis près de trente ans, pour aussitôt suggérer que la solution de cette dernière résiderait nécessairement en nous, dans nous et certainement aussi pour nous ».
Et celui que se présente aussi comme Secrétaire Général du MFDC, de considérer comme le conférencier que « Kuhito n’appartenait pas qu’à Tendouck. Elle appartenait aussi au Blouf, à Bignona, à la Casamance, au Sénégal, à l’Afrique. Exactement comme la reine Aline Sitowé Diatta de Cabrousse et le roi Sihalébé Diatta d’Oussouye, entre autres figures de la résistance en Casamance ».
« Or, qu’est-ce que c’est qu’honorer nos héroïnes et nos héros, sinon les réclamer ? N’est-ce pas, en l’occurrence, les honorer que de réclamer la restitution à la Casamance (et donc au Sénégal ) des restes de la reine Aline Sitowé Diatta, (portée disparue à Tombouctou) et de ceux du roi Sihalébé Diatta (qui trônent en « bonne place » au Muséum de Paris sous le numéro 19822), la reine Kuhito, pour sa part, fort heureusement, ayant été inhumée à Tendouck avec tous les honneurs qui lui étaient dus », renseigne Jean-Marie François Biagui.
M. Biagui de se nourrir d’espoir car « Kuhito avait prédit la survenance de cette autre guerre, celle qui meurtrit la Casamance depuis près de trente ans, pour aussitôt suggérer que la solution de cette dernière résiderait nécessairement en nous, dans nous et certainement aussi pour nous ».
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