Après avoir visité les stands des « gens de la mer » (les acteurs du secteur maritime), Pape Diouf, ministre de la Pêche et des Affaires maritimes, dans son allocution a tenu à souligner l’objectif premier de cette célébration. « C’est la première fois que nous célébrons cette année la Journée mondiale de la mer, alors que ça se célèbre depuis 40 ans… J’attends de cette journée des réflexions sur le renforcement de la sécurité maritime, des propositions concrètes sur des nouvelles dispositions à prendre pour faire face aux nombreux préjudices. Tout en gardant à l’esprit que risque zéro n’existe pas dans le cadre maritime », informe le ministre tutelle avant de rendre un hommage et félicitations au secteur privé évoluant dans les affaires maritimes.
Plus loin, il ajoute qu’ « aucun Etat de nos jours n’est à l’abri du déversement des déchets, parfois toxiques en pleine mer par des tierces. J’ose espérer que ça ne sera pas la dernière et qu’un rendez-vous est pris pour 2013 ».
La Journée mondiale de la Mer, fêtée pour la première fois en République du Sénégal, a été marqué par l’animation de trois (03) panels sur les différents axes en ce qui concerne les diverses activités marines.
Selon Archil Guèye de l’Agence nationale des Affaires maritimes, 6 milliards de tonnes de marchandises transitent par le Port autonome de Dakar et 95% des échanges commerciaux empruntent la voie maritime.
Mais tout n’est pas rose dans ce secteur. « L’insuffisance de sécurité en mer est encore plus persistante. Les vies humaines sont en péril, on enregistre une perte de valeur des agréments maritimes » informe entre autres M. Guèye.
Plus loin, il ajoute qu’ « aucun Etat de nos jours n’est à l’abri du déversement des déchets, parfois toxiques en pleine mer par des tierces. J’ose espérer que ça ne sera pas la dernière et qu’un rendez-vous est pris pour 2013 ».
La Journée mondiale de la Mer, fêtée pour la première fois en République du Sénégal, a été marqué par l’animation de trois (03) panels sur les différents axes en ce qui concerne les diverses activités marines.
Selon Archil Guèye de l’Agence nationale des Affaires maritimes, 6 milliards de tonnes de marchandises transitent par le Port autonome de Dakar et 95% des échanges commerciaux empruntent la voie maritime.
Mais tout n’est pas rose dans ce secteur. « L’insuffisance de sécurité en mer est encore plus persistante. Les vies humaines sont en péril, on enregistre une perte de valeur des agréments maritimes » informe entre autres M. Guèye.
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)