Les journées scientifiques de l’Agence Nationale de Recherches sur le Sida (ANRS) se sont ouvertes ce matin. Pendant deux (2) jours, les acteurs de la santé vont réfléchir sur le problème du VIH/Sida et surtout la transmission de la mère à l’enfant. C’est une occasion aussi pour le directeur de la santé, Monsieur Diack d’expliquer la satisfaction du gouvernement du Sénégal dans sa collaboration avec l’agence créée en 1990 et qui repose spécialement sur un partenariat étroit avec le Comité national de lutte contre le sida. Il s’est développé en collaboration avec les structures et institutions du Sénégal (l’Institut d’hygiène sociale, l’hôpital Le Dantec, l’hôpital Principal, le Centre hospitalier national universitaire (CHNU) de Fann), des organismes français (les instituts Pasteur de Dakar et de Paris, l’Institut de recherche pour le développement, l’Institut de médecine et d’épidémiologie appliquée) et l’Union européenne.
Le représentant du ministre de la Santé, a rappelé toutefois le soutient de l’agence au gouvernement du Sénégal dans la première étude pour l’accès aux antis rétro viraux au Sénégal. Avec un budget de 45 millions d’euro par an, l’ANRS finance des infrastructures, des équipements et du personnel au laboratoire national de virologie dirigé par le Pr Souleymane M’Boup à l’hôpital Le Dantec, et au CRCF de Fann (centre de consultation, services sociaux, pharmacie, laboratoire d’analyses, centre de gestion des essais thérapeutiques, service informatique). Des informations dans les premières informations font état de 700 nouvelles infections chez les enfants vivants en Afrique sur les 3,3 millions vivant avec le VIH dans le monde.
Le représentant du ministre de la Santé, a rappelé toutefois le soutient de l’agence au gouvernement du Sénégal dans la première étude pour l’accès aux antis rétro viraux au Sénégal. Avec un budget de 45 millions d’euro par an, l’ANRS finance des infrastructures, des équipements et du personnel au laboratoire national de virologie dirigé par le Pr Souleymane M’Boup à l’hôpital Le Dantec, et au CRCF de Fann (centre de consultation, services sociaux, pharmacie, laboratoire d’analyses, centre de gestion des essais thérapeutiques, service informatique). Des informations dans les premières informations font état de 700 nouvelles infections chez les enfants vivants en Afrique sur les 3,3 millions vivant avec le VIH dans le monde.
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