Le ministre d’Etat, Karim Wade n’a pas été tendre avec l’ancien chef de la diplomatie sénégalaise qui selon lui ne cesse de s’acharner sur sa personne.
«Si Gadio (NDLIR : Cheikh Tidiane Gadio) continue de s’acharner sur moi, c’est parce qu’il sait que je sais», a lancé Karim Wade dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de L’Observateur.
A l’en croire, c’est pour des raisons bien personnelles que l’ancien ministre des Affaires étrangères défend le Guide libyen.
«S’il tente de défendre bec et ongles Khadafi, c’est parce que ce dernier ne cessait de l’arroser par le canal de son directeur de cabinet, Bachir Saleh», a accusé Karim Wade. «Tout comme rien ne nous a échappait des actes hostiles qu’il a voulus poser dans les pays arabes avant le sommet de l’OCI pour nous torpiller», a poursuivi le ministre d’Etat qui défie Cheikh Tidiane Gadio.
«Je le défie de dire le contraire. S’il y a quelqu’un qui est disqualifié pour parler de bonne gouvernance, c’est bien Gadio», a encore cogné le ministre des infrastructures et de l’énergie.
Par ailleurs, il a révélé avoir permis à son «détracteur» de rentrer au Sénégal en lui payant un billet d’avion.
«Pour la petite histoire, c’est moi-même qui lui ai payé en 1999, un billet d’avion pour lui permettre de rentrer au Sénégal», a-t-il confié avant de lancer un cri de mépris. «Je n’ai que mépris pour Gadio. Qu’il arrête».
«Si Gadio (NDLIR : Cheikh Tidiane Gadio) continue de s’acharner sur moi, c’est parce qu’il sait que je sais», a lancé Karim Wade dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de L’Observateur.
A l’en croire, c’est pour des raisons bien personnelles que l’ancien ministre des Affaires étrangères défend le Guide libyen.
«S’il tente de défendre bec et ongles Khadafi, c’est parce que ce dernier ne cessait de l’arroser par le canal de son directeur de cabinet, Bachir Saleh», a accusé Karim Wade. «Tout comme rien ne nous a échappait des actes hostiles qu’il a voulus poser dans les pays arabes avant le sommet de l’OCI pour nous torpiller», a poursuivi le ministre d’Etat qui défie Cheikh Tidiane Gadio.
«Je le défie de dire le contraire. S’il y a quelqu’un qui est disqualifié pour parler de bonne gouvernance, c’est bien Gadio», a encore cogné le ministre des infrastructures et de l’énergie.
Par ailleurs, il a révélé avoir permis à son «détracteur» de rentrer au Sénégal en lui payant un billet d’avion.
«Pour la petite histoire, c’est moi-même qui lui ai payé en 1999, un billet d’avion pour lui permettre de rentrer au Sénégal», a-t-il confié avant de lancer un cri de mépris. «Je n’ai que mépris pour Gadio. Qu’il arrête».
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