Dans la dernière actualité brûlante sur les relations Sénégal/France, Karim Wade est encore revenu au centre des débats cela en faveur des déclarations du diplomate français André Parant. Pour ce dernier : « le Président Abdoulaye Wade a pour projet de favoriser l’accession de son fils à sa succession ». Un débat vraiment sénégalo-sénégalais et rien de nouveau ! Mais là où c’est intéressant c’est quand le diplomate affirme : « la lutte pour la succession va être extrêmement vive et susciter des tensions. Il y’a un risque d’explosion sociale et donc politique…les deux années à venir vont être cruciales pour le Sénégal ». C’est possible lorsque des politiques de quelque bord où ils se trouvent, décident de passer outre la volonté populaire. Maintenant, pour ceux qui dénoncent avec la dernière énergie, cette immixtion française dans nos affaires, c’est juste vouloir être plus royaliste que le roi, le roi qui a certainement introduit son fils auprès de la première autorité française.
Il est difficile de défendre le Président sur une éventuelle volonté de laisser sa place à son fils. Il l’a fait super ministre qui touche à tout. Ministre d’Etat, ministre de la coopération internationale, des transports aériens, des infrastructures et de l’aménagement du territoire. Aux dernières nouvelles ses services vont prendre en charge, les travaux géographiques et de la cartographie. L’objectif, faire des régions des pôles de développement. Son nom revient souvent dans des affaires à milliards mais il n’est jamais entendu ni accusé, juridiquement parlant. Et son papa de Président le défend partout comme un excellent financier.
Au finish, le diplomate français n’a fait que nous rappeler notre réalité évidente. Les sénégalais se chargeront de leur destin. Et même dans le camp présidentiel, l’espoir est permis de voir qu’au bout la République sera sauve. Le constat d’un confrère peut renforcer cette conviction : « Je ne connais encore aucun responsable du Pds représentatif, qui ait baigné dans ce complot visant à faire de Karim Wade un président ».
Alors Karim par-ci, Karim par-là jusqu’à quand ?
Il est difficile de défendre le Président sur une éventuelle volonté de laisser sa place à son fils. Il l’a fait super ministre qui touche à tout. Ministre d’Etat, ministre de la coopération internationale, des transports aériens, des infrastructures et de l’aménagement du territoire. Aux dernières nouvelles ses services vont prendre en charge, les travaux géographiques et de la cartographie. L’objectif, faire des régions des pôles de développement. Son nom revient souvent dans des affaires à milliards mais il n’est jamais entendu ni accusé, juridiquement parlant. Et son papa de Président le défend partout comme un excellent financier.
Au finish, le diplomate français n’a fait que nous rappeler notre réalité évidente. Les sénégalais se chargeront de leur destin. Et même dans le camp présidentiel, l’espoir est permis de voir qu’au bout la République sera sauve. Le constat d’un confrère peut renforcer cette conviction : « Je ne connais encore aucun responsable du Pds représentatif, qui ait baigné dans ce complot visant à faire de Karim Wade un président ».
Alors Karim par-ci, Karim par-là jusqu’à quand ?
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