L’Afrique du Sud s’élève contre une possible violation de la vie privée et des droits de l’homme. Le ministère des Affaires étrangères appelle le gouvernement britannique à enquêter sur cette affaire, à agir de manière forte et visible contre ceux qui se seraient rendus coupables de tels actes d’espionnage. Une réaction sensiblement plus mesurée qu’en Turquie ou en Russie, deux autres pays concernés par les révélations du Guardian.
Pour l’Alliance démocratique, le principal parti d’opposition en Afrique du Sud, le ministère des Affaires étrangères a vraiment été attrapé « le pantalon numérique baissé » s’il est avéré que les Britanniques ont pu pénétrer dans le réseau du ministère, espionner le téléphone de l’ambassadeur sud africain à Londres et récupérer des documents appartenant aux délégués sud-africains présents lors de la réunion du G20 comme l’affirme le journal. L’opposition demande qu’une enquête ait lieu ici aussi en interne.
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