Le cardinal Théodore Adrien Sarr a profité, hier, de la 122e édition du pèlerinage de Popenguine pour exposer aux autorités gouvernementales un problème qui lui tient à cœur : le manque d’espace pour la construction des lieux de culte publics. En effet, le chef de l’Eglise sénégalaise a souligné la non prise en considération des lieux de culte publics au moment des lotissements opérés par les collectivités locales. Une déclaration bien reçue par le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Bécaye Diop, qui a promis d’en parler à qui de droit.
Par ailleurs, l’archevêque a affirmé son implication dans le dossier Casamance. Il explique ne pas vouloir exposer ses discussions avec les maquisards sur la place publique. «Oui, j’ai des contacts mais dans ce domaine, il vaut mieux la discrétion. Je ne vais pas essayer d’étaler ce que j’essaie de faire», a-t-il confié au micro de la Rfm.
«Espérons seulement que Dieu nous aide à arriver, le plus vite possible, à cette solution de Casamance», a-t-il souhaité. Parce que poursuit-il : «nous sentons que les populations de Casamance sont fatiguées et elles veulent la paix».
Mieux, il croit que les combattants sont prêts à répondre au dialogue si le nécessaire est fait. «Nous pensons aussi que même les combattants si on leur tend une bonne perche, ils vont la saisir pour qu’on trouve la solution».
Ainsi, il demande l’implication de toutes les couches de la société. «Nous tous, Gouvernement, populations civiles et Casamançais, travaillons à ce que, le plus vite possible, nous trouvions une solution définitive à ce problème». A l’en croire, «c’est possible. Dieu le veut et il nous demande de le faire».
Par ailleurs, l’archevêque a affirmé son implication dans le dossier Casamance. Il explique ne pas vouloir exposer ses discussions avec les maquisards sur la place publique. «Oui, j’ai des contacts mais dans ce domaine, il vaut mieux la discrétion. Je ne vais pas essayer d’étaler ce que j’essaie de faire», a-t-il confié au micro de la Rfm.
«Espérons seulement que Dieu nous aide à arriver, le plus vite possible, à cette solution de Casamance», a-t-il souhaité. Parce que poursuit-il : «nous sentons que les populations de Casamance sont fatiguées et elles veulent la paix».
Mieux, il croit que les combattants sont prêts à répondre au dialogue si le nécessaire est fait. «Nous pensons aussi que même les combattants si on leur tend une bonne perche, ils vont la saisir pour qu’on trouve la solution».
Ainsi, il demande l’implication de toutes les couches de la société. «Nous tous, Gouvernement, populations civiles et Casamançais, travaillons à ce que, le plus vite possible, nous trouvions une solution définitive à ce problème». A l’en croire, «c’est possible. Dieu le veut et il nous demande de le faire».
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