Le Premier ministre a estimé que «ce dispositif institutionnel constitue un cadre de concertation entre les acteurs du marché du travail». Selon lui, le décret de création de cette institution - qui vise à redéfinir la politique nationale de l’emploi - a été signé par le président de la République en décembre 2009. Souleymane Ndéné Ndiaye de poursuivre : «Le processus de création de ce Haut conseil pour l’emploi et la formation est arrivé à son terme. Il restait seulement de s’en ouvrir aux différents acteurs, c’est ce qui explique cette cérémonie d’installation du Haut conseil de l’emploi et de la formation».
Ainsi cette structure qui est placée sous la tutelle du Premier ministre regroupe des structures de l’Etat (ANEJ, FNPJ, OFEJBAN) des partenaires sociaux (syndicats, patronat, etc.) et des partenaires au développement. Selon lui, il permettra d’assurer une plus grande synergie entre les différents acteurs pour relever le défi de ’’rationalisation des ressources’’.
Cependant, elle sera composée de 12 ministères dont celui de l’Economie et des Finances, celui de l’Emploi, celui de la Jeunesse, le ministère de la Formation professionnelle et celui des Petites et moyennes entreprises (PME).
Selon Abdoulaye Makhtar Diop, ministre de la Fonction publique, de l’Emploi et des Organisations professionnelles, le nouveau dans ce dispositif, c’est la participation des organisations patronales, des centrales syndicales, des organisations non gouvernementales (ONG) et d’autres acteurs du marché du travail.
Le ministre de la Fonction publique a promis de mettre à la disposition des différents acteurs qui ont participé à la rencontre interministérielle un calendrier de travail pour mieux redéfinir le Haut conseil de l’emploi et de la formation.
‘’Nous allons organiser des sessions sectorielles avec un maximum de participants pour la définition d’un cadre d’action et tracer une feuille de route avant la validation du décret présidentiel’’, a-t-il dit.
Avec l'APS
Ainsi cette structure qui est placée sous la tutelle du Premier ministre regroupe des structures de l’Etat (ANEJ, FNPJ, OFEJBAN) des partenaires sociaux (syndicats, patronat, etc.) et des partenaires au développement. Selon lui, il permettra d’assurer une plus grande synergie entre les différents acteurs pour relever le défi de ’’rationalisation des ressources’’.
Cependant, elle sera composée de 12 ministères dont celui de l’Economie et des Finances, celui de l’Emploi, celui de la Jeunesse, le ministère de la Formation professionnelle et celui des Petites et moyennes entreprises (PME).
Selon Abdoulaye Makhtar Diop, ministre de la Fonction publique, de l’Emploi et des Organisations professionnelles, le nouveau dans ce dispositif, c’est la participation des organisations patronales, des centrales syndicales, des organisations non gouvernementales (ONG) et d’autres acteurs du marché du travail.
Le ministre de la Fonction publique a promis de mettre à la disposition des différents acteurs qui ont participé à la rencontre interministérielle un calendrier de travail pour mieux redéfinir le Haut conseil de l’emploi et de la formation.
‘’Nous allons organiser des sessions sectorielles avec un maximum de participants pour la définition d’un cadre d’action et tracer une feuille de route avant la validation du décret présidentiel’’, a-t-il dit.
Avec l'APS
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