Ils ont préféré la poursuite des pourparlers entre le pouvoir et l’opposition au plan militaire africain, qui a été rejeté par les autorités burundaises.
Bujumbura a déclaré que l’envoi de soldats de l’UA sur son territoire allait être considéré comme une atteinte à son intégrité territoriale.
Les soldats de l’Union africaine devaient assurer la sécurité des civils, selon l’organisation panafricaine.
Au moins 469 personnes ont été tuées au Burundi depuis l’annonce, en avril 2015, de la candidature de Pierre Nkurunziza à un nouveau mandat.
Selon les Nations unies, la crise politique engendrée par cette décision du président burundais a fait quelque 240 mille réfugiés, qui ont rejoint les pays voisins.
Les dirigeants n’ont pas statué sur la crise sud-soudanaise, qui faisait partie de l’agenda du sommet.
Les principaux protagonistes de cette crise, le président Salva Kiir, et le chef de l’opposition, Riek Machar ne sont allés au sommet d’Addis-Abeba.
Source: Rfi.fr
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