L’appel au dialogue lancé, avant hier, à partir de la capitale du Tidianisme, par le Président de la République ne semble pas emballer le Secrétaire général du parti socialiste même s’il se félicite de l’initiative du Khalife général des Tidianes, Serigne Mansour Sy, qui l’a initié.
Ousmane Tanor Dieng indique qu’avant de s’asseoir autour d’une table pour un dialogue, le Président de la République doit montrer des signaux forts : en nommant d’abord une personnalité indépendante consensuelle pour présider la Commission électorale nationale autonome (CENA), ensuite en auditant le fichier électoral en collaboration avec l’Union européenne comme il l’avait promis au cours de son adresse à la Nation le 31 décembre dernier.
Si ces conditions sont respectées, le leader du PS ne trouverait aucun inconvénient à répondre au dialogue politique.
Car pour lui, les termes de référence seront fixés quand le médiateur leur sera envoyé. «Lorsque le médiateur viendra nous voir, nous lui indiquerons les termes de référence autour desquels nous pouvons envisager d’engager un dialogue» cadre Tanor Dieng qui était au micro du correspondant de la Rfm à Kaolack.
En fixant les règles du jeu, Ousmane Tanor Dieng veut éviter que l’opposition soit l’instrument d’une grosse farce. «Parce qu’il ne s’agit pas pour nous de donner à Wade l’occasion de réunir son opposition et d’amener les medias pour filmer l’événement et l’envoyer partout dans le monde pour dire qu’il a réuni son opposition» prévient le chef du parti socialiste.
Ousmane Tanor Dieng indique qu’avant de s’asseoir autour d’une table pour un dialogue, le Président de la République doit montrer des signaux forts : en nommant d’abord une personnalité indépendante consensuelle pour présider la Commission électorale nationale autonome (CENA), ensuite en auditant le fichier électoral en collaboration avec l’Union européenne comme il l’avait promis au cours de son adresse à la Nation le 31 décembre dernier.
Si ces conditions sont respectées, le leader du PS ne trouverait aucun inconvénient à répondre au dialogue politique.
Car pour lui, les termes de référence seront fixés quand le médiateur leur sera envoyé. «Lorsque le médiateur viendra nous voir, nous lui indiquerons les termes de référence autour desquels nous pouvons envisager d’engager un dialogue» cadre Tanor Dieng qui était au micro du correspondant de la Rfm à Kaolack.
En fixant les règles du jeu, Ousmane Tanor Dieng veut éviter que l’opposition soit l’instrument d’une grosse farce. «Parce qu’il ne s’agit pas pour nous de donner à Wade l’occasion de réunir son opposition et d’amener les medias pour filmer l’événement et l’envoyer partout dans le monde pour dire qu’il a réuni son opposition» prévient le chef du parti socialiste.
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