Selon Assane Fall, Président de la Fédération des clubs d’anglais du Sénégal : «Nous essayons de promouvoir la langue anglais, mais aussi c’est de voir comment à travers la langue anglaise garder notre africanité. Parce qu’il faut être fier d’être Sénégalais mais aussi d’être Africain. L’anglais est devenue incontournable aujourd’hui. Nous montrons aux jeunes que nous pouvons utiliser cette langue tout en gardant nos valeurs. La Fédération est en train de tout faire pour unir les clubs d’anglais».
Poursuivant, M. Fall de souligner que : «La Fédération est en train de nouer des partenariats avec l’Ambassade des Etats-Unis, qui nous a demandé de fédérer les clubs pour pouvoir intervenir. Car ils ne peuvent pas aider tout le monde. Parce qu’il y a beaucoup de clubs d’anglais au niveau national».
Bosso, Coordonatrice du réseau des jeunes militants pour le respect des droits humains admet que: «L’acronyme de ce réseau c’est l’éducation et c’est tirée de l’anglais. C’est un réseau de jeunes conscients de ses rôles, de sa responsabilité en tant que citoyen sénégalais, de cette prise de conscience de son engagement non seulement pour le Sénégal mais pour le reste de l’Afrique ».
Interpellé sur le thème de la cérémonie, elle a fait s’avoir que : « Dire qui nous sommes en tant qu'africain, ne pas négliger ce qui est universel. La langue anglaise est aujourd’hui universelle, partout dans le monde on parle anglais. On est écouté on est entendu lorsqu’on parle anglais et on est compris. A travers cette langue anglaise, faire la promotion de notre culture africaine, la promotion de notre propre identité africaine. Je pense que nous l’avons assez montré aujourd’hui, avec les différentes prestations. Avec les différents échanges entre les participants et les panélistes, c’est la promotion de la langue anglaise, mais surtout les gens ont compris qu’on utilise cette langue comme un outil de communication».
Toutefois elle a invité à une synergie dans l’action, et que l’Etat, la société civile, la famille, les établissements de façon générale, et les enseignants, s’y mettent pour réussir l’éducation des enfants.
«On ne peut pas tout mettre entre les mains de l’Etat. Car il ne peut pas tout faire. Aujourd’hui je pense qu’avec cette initiative de fédération de clubs d’anglais, au niveau national, on prend notre initiative pour réussir. C’est une initiative à saluer, à applaudir, et je pense que l’Etat n’hésiterait pas a l’accompagner. Parce que c’est un point de vue culturel. C’est une question d’entente entre les pays anglais, les Etats unis la Grande Bretagne et le Sénégal. Donc renforcer le lien qui existe entre nos différentes nations, par la culture, par l’Education, je pense que c’est une cause noble. Réussi à contribuer d’avantage dans l’enseignement que l’on voudrait frais de nos enfants », a-elle conseillé.
Poursuivant, M. Fall de souligner que : «La Fédération est en train de nouer des partenariats avec l’Ambassade des Etats-Unis, qui nous a demandé de fédérer les clubs pour pouvoir intervenir. Car ils ne peuvent pas aider tout le monde. Parce qu’il y a beaucoup de clubs d’anglais au niveau national».
Bosso, Coordonatrice du réseau des jeunes militants pour le respect des droits humains admet que: «L’acronyme de ce réseau c’est l’éducation et c’est tirée de l’anglais. C’est un réseau de jeunes conscients de ses rôles, de sa responsabilité en tant que citoyen sénégalais, de cette prise de conscience de son engagement non seulement pour le Sénégal mais pour le reste de l’Afrique ».
Interpellé sur le thème de la cérémonie, elle a fait s’avoir que : « Dire qui nous sommes en tant qu'africain, ne pas négliger ce qui est universel. La langue anglaise est aujourd’hui universelle, partout dans le monde on parle anglais. On est écouté on est entendu lorsqu’on parle anglais et on est compris. A travers cette langue anglaise, faire la promotion de notre culture africaine, la promotion de notre propre identité africaine. Je pense que nous l’avons assez montré aujourd’hui, avec les différentes prestations. Avec les différents échanges entre les participants et les panélistes, c’est la promotion de la langue anglaise, mais surtout les gens ont compris qu’on utilise cette langue comme un outil de communication».
Toutefois elle a invité à une synergie dans l’action, et que l’Etat, la société civile, la famille, les établissements de façon générale, et les enseignants, s’y mettent pour réussir l’éducation des enfants.
«On ne peut pas tout mettre entre les mains de l’Etat. Car il ne peut pas tout faire. Aujourd’hui je pense qu’avec cette initiative de fédération de clubs d’anglais, au niveau national, on prend notre initiative pour réussir. C’est une initiative à saluer, à applaudir, et je pense que l’Etat n’hésiterait pas a l’accompagner. Parce que c’est un point de vue culturel. C’est une question d’entente entre les pays anglais, les Etats unis la Grande Bretagne et le Sénégal. Donc renforcer le lien qui existe entre nos différentes nations, par la culture, par l’Education, je pense que c’est une cause noble. Réussi à contribuer d’avantage dans l’enseignement que l’on voudrait frais de nos enfants », a-elle conseillé.
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