Pour le pays de Barack Obama, « la candidature de Wade serait une source de déstabilisation du Sénégal ». Et selon le quotidien « Enquête », la lettre de Johnnie Carson sonne comme la position officielle de la première puissance mondiale. Car cette lettre n’a pas pu être écrite ou expédiée sans l’aval de Hilary Clinton, Secrétaire d’Etat et patronne de la diplomatie américaine.
Il faut signaler que vu le poste de Johnnie Carson, cette correspondance diplomatique engage de facto le président des Etats-unis, Barack Obama, qui était « très remonté contre Wade après la fameuse poignée de mains entre lui et Karim Wade à Deauville, lors du sommet du G8. C’est Nikolas Sarkozy, président français, qui avait effectué la présentation à cette occasion.
Cette lettre intervient après la visite de son hauteur au Sénégal en août dernier. Voyage au cours duquel il avait rencontré le président Me Wade, la société civile et les leaders de l’opposition. Le chef des dossiers africains à la Maison blanche avait entendu de vive voix, les craintes de l’opposition sénégalaise à propos des échéances électorales de février 2012. Il a aussi constaté à quel point la tension était vive entre le pouvoir et l’opposition après les évènements des 23 et 27 juin dernier. Elle (lettre de Johnnie) vient également après celle de l’ex-président et prix Nobel de la paix Jimmy Carter.
Après ses consultations avec le pouvoir, l’opposition et la société civile en août dernier, Johnnie Carson avait rencontré la presse pour affirmer : « Nous espérons que le gouvernement va prendre toutes ses responsabilités pour organiser des élections libres, justes et transparentes, conformément aux lois et à la constitution ».
Du côté de l’opposition, Johnnie avait exhorté cette couche politique à « jouer pleinement son rôle en participant paisiblement à ces élections, en s’organisant ».
Pour l’heure, le gouvernement sénégalais n’a fait aucune déclaration face à ces prises de position de la première puissance du monde.
Il faut signaler que vu le poste de Johnnie Carson, cette correspondance diplomatique engage de facto le président des Etats-unis, Barack Obama, qui était « très remonté contre Wade après la fameuse poignée de mains entre lui et Karim Wade à Deauville, lors du sommet du G8. C’est Nikolas Sarkozy, président français, qui avait effectué la présentation à cette occasion.
Cette lettre intervient après la visite de son hauteur au Sénégal en août dernier. Voyage au cours duquel il avait rencontré le président Me Wade, la société civile et les leaders de l’opposition. Le chef des dossiers africains à la Maison blanche avait entendu de vive voix, les craintes de l’opposition sénégalaise à propos des échéances électorales de février 2012. Il a aussi constaté à quel point la tension était vive entre le pouvoir et l’opposition après les évènements des 23 et 27 juin dernier. Elle (lettre de Johnnie) vient également après celle de l’ex-président et prix Nobel de la paix Jimmy Carter.
Après ses consultations avec le pouvoir, l’opposition et la société civile en août dernier, Johnnie Carson avait rencontré la presse pour affirmer : « Nous espérons que le gouvernement va prendre toutes ses responsabilités pour organiser des élections libres, justes et transparentes, conformément aux lois et à la constitution ».
Du côté de l’opposition, Johnnie avait exhorté cette couche politique à « jouer pleinement son rôle en participant paisiblement à ces élections, en s’organisant ».
Pour l’heure, le gouvernement sénégalais n’a fait aucune déclaration face à ces prises de position de la première puissance du monde.
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