Dakar abrite depuis ce mardi 23 février une réunion de concertation des responsables des Structures nationales de Liaison (SNL) des 16 Etats membres de l’OAPI. Ces travaux, qui vont prendre fin ce vendredi, permettront de dégager les mesures pour encourager et appuyer les Etats membres dans l’élaboration de stratégies de promotion, de recours des acteurs des différents secteurs économiques à la propriété industrielle pour protéger leurs actifs immatériels, afin de faire réellement de ceux-ci un outil de développement économique, social et culturel.
Selon le représentant du Ministre d’Etat, Ministre des Mines de l’Industrie, Alcaly Traoré, la présente rencontre va permettre de traduire les recommandations de la conférence de Dakar en actes afin que, comme partout ailleurs dans le monde, la propriété intellectuelle soit un outil stratégique qui doit être utilisé par nos Etats dans leur quête de compétitivité et de croissance économique.
Pour M. Alcaly Traoré, depuis l’aboutissement des négociations de l’Uruguay Round avec comme principal résultat la création de l’OMC, l’économie mondiale est régie par des standards universels qui amènent les nations à prendre des mesures de plus en plus significative consistant à lever les protections douanières pour faciliter l’entrée des marchandises dans les marchés nationaux.
Il a fait comprendre qu’«aujourd’hui, c’est surtout dans le domaine de l’innovation valorisée par la propriété industrielle que se creusent les écarts entre les concurrents dans le marché global». Et d’ajouter: «Les créations industrielles et commerciales comme les inventions, les marques, celles esthétiques comme les dessins et modèles ainsi que les indications géographiques, pour ne citer que celles là, si elles bénéficient de la protection par la propriété industrielle permettent à l’entreprise de s’adjuger des avantages comparatifs grâce à l’acquisition de gains de productivité et de valeur ajoutée qui sont propres à favoriser la mise sur le marché de produits et services moins chers et de meilleure qualité que ceux des concurrents».
Pour sa part le Directeur de l’OAPI, Paulin Edou Edou a estimé que «certains membres de son organisation doutent encore. Il est d’avis qu’«ils ont tort de penser que le développement de nos Etats se fera sans donner une place de choix à la propriété intellectuelle. Tort de penser que l’intégration de la propriété intellectuelle dans le plan de développement national n’est qu’une option, alors qu’elle est une exigence et une nécessité sans lesquelles nos économies resteront extraverties, sans possibilité réelle de les faire décoller».
Selon le représentant du Ministre d’Etat, Ministre des Mines de l’Industrie, Alcaly Traoré, la présente rencontre va permettre de traduire les recommandations de la conférence de Dakar en actes afin que, comme partout ailleurs dans le monde, la propriété intellectuelle soit un outil stratégique qui doit être utilisé par nos Etats dans leur quête de compétitivité et de croissance économique.
Pour M. Alcaly Traoré, depuis l’aboutissement des négociations de l’Uruguay Round avec comme principal résultat la création de l’OMC, l’économie mondiale est régie par des standards universels qui amènent les nations à prendre des mesures de plus en plus significative consistant à lever les protections douanières pour faciliter l’entrée des marchandises dans les marchés nationaux.
Il a fait comprendre qu’«aujourd’hui, c’est surtout dans le domaine de l’innovation valorisée par la propriété industrielle que se creusent les écarts entre les concurrents dans le marché global». Et d’ajouter: «Les créations industrielles et commerciales comme les inventions, les marques, celles esthétiques comme les dessins et modèles ainsi que les indications géographiques, pour ne citer que celles là, si elles bénéficient de la protection par la propriété industrielle permettent à l’entreprise de s’adjuger des avantages comparatifs grâce à l’acquisition de gains de productivité et de valeur ajoutée qui sont propres à favoriser la mise sur le marché de produits et services moins chers et de meilleure qualité que ceux des concurrents».
Pour sa part le Directeur de l’OAPI, Paulin Edou Edou a estimé que «certains membres de son organisation doutent encore. Il est d’avis qu’«ils ont tort de penser que le développement de nos Etats se fera sans donner une place de choix à la propriété intellectuelle. Tort de penser que l’intégration de la propriété intellectuelle dans le plan de développement national n’est qu’une option, alors qu’elle est une exigence et une nécessité sans lesquelles nos économies resteront extraverties, sans possibilité réelle de les faire décoller».
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