Les études de préfaisabilité seront financées par la Banque africaine d'import-export et les résultats devraient être disponibles dans cinq mois.
Pour le ministre congolais de l’Industrie Julien Paluku, le choix de la zone économique spéciale relève d’une stratégie attractive :
« On met ce projet dans un espace hors taxe qui est considéré comme un espace sous douanes parce qu’on en connaît souvent beaucoup d’investisseurs qui plient bagage, parce que seulement, ils font l’objet de beaucoup de tracasseries. Voilà pourquoi on part les isoler dans cet espace que les gouvernements congolais et zambien ont créé pour permettre que l’investissement soit beaucoup plus compétitif avec des coûts réduits. Si on capte 10% de ce marché, cela nous fait 700 milliards ! Donc il appartient à nous, Africains, de monter des stratégies pour voir comment nous captons. »
Face aux grandes ambitions des autorités congolaises, Jean-Luc Mastaki, le directeur sous-régional de la commission économique des Nations unies pour l’Afrique, prévient : le marché est certes bouillonnant, mais bien plus évolutif.
« Le débat sur les batteries du futur impose à la RDC de ne pas seulement se focaliser sur la capacité à produire la batterie à ion lithium aujourd’hui mais de pouvoir continuer à innover pour pouvoir s’adapter à l’évolution et la technologie au niveau international. Il y a beaucoup de recherches et développement en cours qui tendent à substituer certaines matières premières dont nous avons une détention plus forte dans les batteries. »
Selon cet expert, ce projet devrait profiter du développement de la zone de libre échange continentale.
Pour le ministre congolais de l’Industrie Julien Paluku, le choix de la zone économique spéciale relève d’une stratégie attractive :
« On met ce projet dans un espace hors taxe qui est considéré comme un espace sous douanes parce qu’on en connaît souvent beaucoup d’investisseurs qui plient bagage, parce que seulement, ils font l’objet de beaucoup de tracasseries. Voilà pourquoi on part les isoler dans cet espace que les gouvernements congolais et zambien ont créé pour permettre que l’investissement soit beaucoup plus compétitif avec des coûts réduits. Si on capte 10% de ce marché, cela nous fait 700 milliards ! Donc il appartient à nous, Africains, de monter des stratégies pour voir comment nous captons. »
Face aux grandes ambitions des autorités congolaises, Jean-Luc Mastaki, le directeur sous-régional de la commission économique des Nations unies pour l’Afrique, prévient : le marché est certes bouillonnant, mais bien plus évolutif.
« Le débat sur les batteries du futur impose à la RDC de ne pas seulement se focaliser sur la capacité à produire la batterie à ion lithium aujourd’hui mais de pouvoir continuer à innover pour pouvoir s’adapter à l’évolution et la technologie au niveau international. Il y a beaucoup de recherches et développement en cours qui tendent à substituer certaines matières premières dont nous avons une détention plus forte dans les batteries. »
Selon cet expert, ce projet devrait profiter du développement de la zone de libre échange continentale.
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