Barack Obama en Tanzanie, le 1er juillet 2013. Cameron / Reuters
Pour la dernière étape de sa tournée africaine, Barack Obama doit passer un peu moins de 24 heures en Tanzanie. Avant de quitter le sol africain, le président américain ira déposer ce mardi matin une gerbe de fleurs au mémorial des victimes de l'attentat contre l'Ambassade américaine qui avait fait 11 morts, en 98 en Tanzanie.
La Tanzanie confirme son poids croissant dans la région : économiquement dynamique et politiquement stable, elle aura été préférée au Kenya, dont les président et vice-président sont poursuivis par la CPI.
« Commerce et partenariat » contre « aide et assistance »
Après les 21 coups de canon, la fanfare militaire, et les chants traditionnels qui l'ont salué à son arrivée à Dar Es Salam, le président américain s'est entretenu avec son homologue Jakaya Kikwete. Il a notamment rappelé que le commerce et le partenariat avaient vocation à prendre le pas sur l'aide et l'assistance, dans la politique américaine en Afrique et il a présenté la Tanzanie comme l'un des meilleurs partenaires des Etats-Unis.
Barack Obama en a aussi profité pour évoquer le dossier congolais. Il a appelé les pays frontaliers de la RDC à cesser de soutenir les groupes armés visant ainsi sans les nommer l'Ouganda et le Rwanda. Mais le président américain a aussi eu un mot pour Joseph Kabila, son homologue congolais à qui il a demandé de faire plus et mieux pour réformer les forces de sécurité de son pays.
Source: RFI
La Tanzanie confirme son poids croissant dans la région : économiquement dynamique et politiquement stable, elle aura été préférée au Kenya, dont les président et vice-président sont poursuivis par la CPI.
« Commerce et partenariat » contre « aide et assistance »
Après les 21 coups de canon, la fanfare militaire, et les chants traditionnels qui l'ont salué à son arrivée à Dar Es Salam, le président américain s'est entretenu avec son homologue Jakaya Kikwete. Il a notamment rappelé que le commerce et le partenariat avaient vocation à prendre le pas sur l'aide et l'assistance, dans la politique américaine en Afrique et il a présenté la Tanzanie comme l'un des meilleurs partenaires des Etats-Unis.
Barack Obama en a aussi profité pour évoquer le dossier congolais. Il a appelé les pays frontaliers de la RDC à cesser de soutenir les groupes armés visant ainsi sans les nommer l'Ouganda et le Rwanda. Mais le président américain a aussi eu un mot pour Joseph Kabila, son homologue congolais à qui il a demandé de faire plus et mieux pour réformer les forces de sécurité de son pays.
Source: RFI
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