Nombreux sont ceux qui ont tout abandonné derrière eux pour sauver leurs vies. Cherchant refuge vers le Nigéria voisin, on dénombre environ 160000 personnes victimes de la crise. L’appel lancé au gouvernement par ces dernières se résume à la volonté de retrouver leurs vies d’en temps.
Face à ces cris de désespoirs, le gouvernement a lancé un appel à la solidarité sur toute l’étendue du territoire. En effet, initié par le ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation Paul Ataga Nji, les élites des grandes régions, les fonctionnaires, les citoyens ordinaires, et les âmes de bonne volonté se sont mobilisés pour récolter des fonds destinés non seulement à résoudre des problèmes ponctuels des déplacés camerounais qui ont tout perdus, mais également de regagner leurs domiciles abandonnés en zone anglophone.
Depuis le début de cette campagne de collecte, nombreux sont ceux qui se sont manifestés en contribuant à hauteur 120 millions pour les régions du Sud, Adamaoua, et Nord, 430 millions pour la région de l’Ouest pour ne citer que ceux-ci. Malheureusement, l’instabilité persistante dans les deux régions concernées inquiète quant à la possibilité de retour des déplacés et de la mise en exécution de l’effective réhabilitation des édifices détruits.
Les efforts du gouvernement Camerounais ne semblent pas calmer les ardeurs des groupes sécessionnistes. Bien au contraire, en dehors du groupe dit des Ambazoniens, il existe un autre groupe sécessionniste qui se ferait appelé "Red Dragons".
Sur le terrain, un combat d’appropriation idéologique s’est déclaré entre les deux groupes entrainant en fin de semaine passée la mort de cinq "Red Dragons" par les Ambazoniens ; qui quant à eux se sentent de plus en plus à l’aise dans les cités du nord-ouest et sud-ouest.
D’après le témoignage des populations, ils se déplaceraient au vue et su de tous pour ne disparaitre qu’à l’approche des forces de défense.
Le lundi 9 juillet encore, Buea City, capitale du sud-ouest a été pris d’assaut par les Ambazoniens. En effet, ayant bloqué l’entrée de la ville, ils se sont rendus dans une agence de transport en commun et ont brulés bus et voitures de particuliers. Il s’en est suivi des échanges de coup de feu avec l’armée Camerounaise.
Les rebondissements constatés dans la crise anglophone ne laissent pas présager un apaisement de la situation dans un avenir proche. Bien que les forces de défense fassent de leur mieux pour rassurer la population au quotidien.
Face à ces cris de désespoirs, le gouvernement a lancé un appel à la solidarité sur toute l’étendue du territoire. En effet, initié par le ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation Paul Ataga Nji, les élites des grandes régions, les fonctionnaires, les citoyens ordinaires, et les âmes de bonne volonté se sont mobilisés pour récolter des fonds destinés non seulement à résoudre des problèmes ponctuels des déplacés camerounais qui ont tout perdus, mais également de regagner leurs domiciles abandonnés en zone anglophone.
Depuis le début de cette campagne de collecte, nombreux sont ceux qui se sont manifestés en contribuant à hauteur 120 millions pour les régions du Sud, Adamaoua, et Nord, 430 millions pour la région de l’Ouest pour ne citer que ceux-ci. Malheureusement, l’instabilité persistante dans les deux régions concernées inquiète quant à la possibilité de retour des déplacés et de la mise en exécution de l’effective réhabilitation des édifices détruits.
Les efforts du gouvernement Camerounais ne semblent pas calmer les ardeurs des groupes sécessionnistes. Bien au contraire, en dehors du groupe dit des Ambazoniens, il existe un autre groupe sécessionniste qui se ferait appelé "Red Dragons".
Sur le terrain, un combat d’appropriation idéologique s’est déclaré entre les deux groupes entrainant en fin de semaine passée la mort de cinq "Red Dragons" par les Ambazoniens ; qui quant à eux se sentent de plus en plus à l’aise dans les cités du nord-ouest et sud-ouest.
D’après le témoignage des populations, ils se déplaceraient au vue et su de tous pour ne disparaitre qu’à l’approche des forces de défense.
Le lundi 9 juillet encore, Buea City, capitale du sud-ouest a été pris d’assaut par les Ambazoniens. En effet, ayant bloqué l’entrée de la ville, ils se sont rendus dans une agence de transport en commun et ont brulés bus et voitures de particuliers. Il s’en est suivi des échanges de coup de feu avec l’armée Camerounaise.
Les rebondissements constatés dans la crise anglophone ne laissent pas présager un apaisement de la situation dans un avenir proche. Bien que les forces de défense fassent de leur mieux pour rassurer la population au quotidien.
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