Mais depuis que l’autorisation de la marche a été annoncée par un officier de la police qui est sur place, le dispositif a commencé à prendre d’autres tournures. Les forces de l’ordre ont ainsi pris les dispositions pour encadrer la marche organisée par la coalition Bennoo Siggil Senegaal. Ce qui est plus cocasse dans cette affaire, c’est que la police est venue avec une caméra pour couvrir la manifestation comme les journalistes.
«On a relevé le défi et on était prêt à aller jusqu’au bout». Le responsable du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), Ibrahima Sène d’expliquer comment il a été interpellé par la police. «J’étais assis sur le parcours de la marche qui était interdite quant on est venu me dire «je n’ai pas le droit de m’asseoir». C’est ainsi qu’on m’a orienté vers l’école de police. Le temps de faire quelques pas, on m’amène au commissariat du Point E sous le prétexte que je suis en train de mettre en œuvre une décision qui a été interdite», a indiqué le plénipotentiaire de l’opposition au micro de nos confrères de la RFM.
Ibrahima Sène d’ajouter : «dans la police, le temps de m’asseoir et de lire un journal, on m’apprend que la marche est autorisée. Ils se sont rendus compte que l’intimidation n’a pas marché. On ne peut pas nous intimider. Nous sommes déjà mobilisés et vous allez voir les gens vont venir».
A 10h, les leaders des partis membres de Bennoo Siggil Senegaal ne sont pas encore sortis. Les gens commencent à arriver petit à petit sur les lieux, le parcours de la marche. Certaines de ces personnes qui sont arrivées sur place ont estimé que cette décision a été simplement prise pour démobiliser les militants et citoyens qui ont décidé de prendre part à cette manifestation.
Cette procession organisée par l’opposition vise à s’insurger contre l’inauguration du monument de la Renaissance (qui a lieu ce 3 avril 2010) qui selon elle est contre nos valeurs et qu’il y a d’autres priorités plus importantes que ce monument qui a coûté des milliards aux contribuables sénégalais.
«On a relevé le défi et on était prêt à aller jusqu’au bout». Le responsable du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), Ibrahima Sène d’expliquer comment il a été interpellé par la police. «J’étais assis sur le parcours de la marche qui était interdite quant on est venu me dire «je n’ai pas le droit de m’asseoir». C’est ainsi qu’on m’a orienté vers l’école de police. Le temps de faire quelques pas, on m’amène au commissariat du Point E sous le prétexte que je suis en train de mettre en œuvre une décision qui a été interdite», a indiqué le plénipotentiaire de l’opposition au micro de nos confrères de la RFM.
Ibrahima Sène d’ajouter : «dans la police, le temps de m’asseoir et de lire un journal, on m’apprend que la marche est autorisée. Ils se sont rendus compte que l’intimidation n’a pas marché. On ne peut pas nous intimider. Nous sommes déjà mobilisés et vous allez voir les gens vont venir».
A 10h, les leaders des partis membres de Bennoo Siggil Senegaal ne sont pas encore sortis. Les gens commencent à arriver petit à petit sur les lieux, le parcours de la marche. Certaines de ces personnes qui sont arrivées sur place ont estimé que cette décision a été simplement prise pour démobiliser les militants et citoyens qui ont décidé de prendre part à cette manifestation.
Cette procession organisée par l’opposition vise à s’insurger contre l’inauguration du monument de la Renaissance (qui a lieu ce 3 avril 2010) qui selon elle est contre nos valeurs et qu’il y a d’autres priorités plus importantes que ce monument qui a coûté des milliards aux contribuables sénégalais.
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