Considérant les révélations sur ce qu’il est convenu d’appeler « L’Affaire des 20 milliards de Sudatel » et plus généralement les accusations répétées de versement de commissions illégales, dans le cadre de plusieurs affaires récentes ;
- Considérant que les citoyennes, citoyens et contribuables sénégalais doivent connaître la vérité ;
- Considérant que cette vérité doit d’abord profiter à ceux qui ont piloté ces opérations, peut être avec compétence et intégrité, mais qui, au lieu de bénéficier de la présomption d’innocence se disent accusés sans preuves ;
- Considérant qu’il existe dans certaines instances et organismes internationaux des outils d’identification de traçabilité et d’analyse spécialement adaptés pour détecter l’existence ou non de telles preuves ;
Nous soussignés, citoyennes, citoyens et contribuables sénégalais,
souhaitons saisir ces instances et organismes internationaux pour :
- Déterminer l’existence ou non de versements de commissions ou assimilés, liés aux opérations d’attribution par le Sénégal d’une licence de téléphonie à Sudatel ;
- Déterminer la légalité ou non de ces éventuels versements ;
- Identifier, le cas échéant, les bénéficiaires directs et indirects des sommes versées ;
- Intenter, le cas échéant, les procédures de blocage, de saisie, de rétrocession et de rapatriement des montants identifiés comme indûment perçues et devant revenir au Sénégal.
Nous recommandons, ensuite, que ces sommes soient versées au Trésor Public et mises à l’entière disposition des autorités sénégalaises qui décideront souverainement de leur utilisation, en appui à leurs missions de service public, notamment dans la résolution des problèmes d’inondations, de santé et d’éducation que nos rares ressources propres n’arrivent pas à satisfaire.
20 milliards, c’est 20.000 frs par jour pendant 2737 ans et 10 mois et 6 jours. Avec 20 milliards, un individu aurait pu dépenser
20.000 frs chaque jour depuis le début du Calendrier Grégorien, de l’an 1 jusqu’à aujourd’hui en 2010, et avoir encore en réserve
727 ans et 5 mois de Dépense Quotidienne assurée.
- Considérant que les citoyennes, citoyens et contribuables sénégalais doivent connaître la vérité ;
- Considérant que cette vérité doit d’abord profiter à ceux qui ont piloté ces opérations, peut être avec compétence et intégrité, mais qui, au lieu de bénéficier de la présomption d’innocence se disent accusés sans preuves ;
- Considérant qu’il existe dans certaines instances et organismes internationaux des outils d’identification de traçabilité et d’analyse spécialement adaptés pour détecter l’existence ou non de telles preuves ;
Nous soussignés, citoyennes, citoyens et contribuables sénégalais,
souhaitons saisir ces instances et organismes internationaux pour :
- Déterminer l’existence ou non de versements de commissions ou assimilés, liés aux opérations d’attribution par le Sénégal d’une licence de téléphonie à Sudatel ;
- Déterminer la légalité ou non de ces éventuels versements ;
- Identifier, le cas échéant, les bénéficiaires directs et indirects des sommes versées ;
- Intenter, le cas échéant, les procédures de blocage, de saisie, de rétrocession et de rapatriement des montants identifiés comme indûment perçues et devant revenir au Sénégal.
Nous recommandons, ensuite, que ces sommes soient versées au Trésor Public et mises à l’entière disposition des autorités sénégalaises qui décideront souverainement de leur utilisation, en appui à leurs missions de service public, notamment dans la résolution des problèmes d’inondations, de santé et d’éducation que nos rares ressources propres n’arrivent pas à satisfaire.
20 milliards, c’est 20.000 frs par jour pendant 2737 ans et 10 mois et 6 jours. Avec 20 milliards, un individu aurait pu dépenser
20.000 frs chaque jour depuis le début du Calendrier Grégorien, de l’an 1 jusqu’à aujourd’hui en 2010, et avoir encore en réserve
727 ans et 5 mois de Dépense Quotidienne assurée.
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24