A l’occasion de la célébration de la journée internationale de lutte contre la corruption ce 9 décembre 2010, le Laboratoire de Recherche et d’Etudes sur la Gouvernance (LAREG), a organisé en partenariat avec l’Institut Africain de la Gouvernance (IAG) et la Faculté des Sciences Juridiques et Politique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, et la Commission National de lutte contre la Non Transparence, la corruption et la concussion au Sénégal (CNLCC), une journée de réflexion scientifique qui avait pour thème «Mesurer la gouvernance et la corruption en Afrique: Défis pour recherche, enjeux politiques, conflits de représentation et usage sociaux pluriels par les acteurs».
Selon les responsables du LAREG qui est une association scientifique internationale qui regroupe des chercheurs de plusieurs disciplines, venant de divers centres de recherches et d’universités d’Afrique, d’Europe et d’Amérique, l’objectif de la journée est de réunir autour d’une même table, des chercheurs, des décideurs politiques, des bailleurs de fonds afin de discuter sur les défis, les enjeux et les conflits, que suscite la production et la publication des indices, mais aussi de discuter du cas du Sénégal dans les différents indices sur la gouvernance et la corruption en mettant ensemble les acteurs qui interviennent sur ce champ.
Dans ce contexte, la Responsable Afrique à Transparency International (TI), Mme Doris Basler, qui a fait un exposé sur les indices TI (IPC, CPI, baromètre mondial) a présenté un sondage du grand public qui a révélé que «le niveau de la corruption est perçu par le grand public comme ayant augmenté dans les trois derniers années». Selon elle, l’étude montre également que «la police est identifiée comme étant l’institut la plus corrompue à travers le monde».
En outre le document indique que «l’expérience de la petite corruption dans les relations avec différents prestataires de services est très répandue et n’a pas changé depuis 2006».
Le LAREG a pour vocation de contribuer à la construction d’une connaissance et d’un savoir scientifique sur la gouvernance et la corruption en Afrique, dans le but de soutenir l’action des acteurs (citoyens, gouvernants, chercheurs) a bâtir une société démocratique.
Selon les responsables du LAREG qui est une association scientifique internationale qui regroupe des chercheurs de plusieurs disciplines, venant de divers centres de recherches et d’universités d’Afrique, d’Europe et d’Amérique, l’objectif de la journée est de réunir autour d’une même table, des chercheurs, des décideurs politiques, des bailleurs de fonds afin de discuter sur les défis, les enjeux et les conflits, que suscite la production et la publication des indices, mais aussi de discuter du cas du Sénégal dans les différents indices sur la gouvernance et la corruption en mettant ensemble les acteurs qui interviennent sur ce champ.
Dans ce contexte, la Responsable Afrique à Transparency International (TI), Mme Doris Basler, qui a fait un exposé sur les indices TI (IPC, CPI, baromètre mondial) a présenté un sondage du grand public qui a révélé que «le niveau de la corruption est perçu par le grand public comme ayant augmenté dans les trois derniers années». Selon elle, l’étude montre également que «la police est identifiée comme étant l’institut la plus corrompue à travers le monde».
En outre le document indique que «l’expérience de la petite corruption dans les relations avec différents prestataires de services est très répandue et n’a pas changé depuis 2006».
Le LAREG a pour vocation de contribuer à la construction d’une connaissance et d’un savoir scientifique sur la gouvernance et la corruption en Afrique, dans le but de soutenir l’action des acteurs (citoyens, gouvernants, chercheurs) a bâtir une société démocratique.
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