A défaut d'avoir une une réaction de la direction de l'entreprise française en charge de l'exploitation de l'autoroute à péage qui joue aux aveugles et aux insensibles, les Sénégalais ont eu droit, pour le moment, à une réaction qui frise l'insulte de la part de l'ambassadeur de France à Dakar.
Sur les ondes de la Rfm, Christophe Bigot demande aux uns et aux autres d'attendre les résultats de l'enquête ouverte après la mort accidentelle de Papis Mballo du groupe Gelongal, pour situer les responsabilités avant de rappeler aux Sénégalais qu'ils sont massacrés chaque jour par leurs propres concitoyens sur les autres routes.
"Il y a une enquête en cours. Nous verrons quels sont les résultats de cette enquête. Entre la responsabilité des propriétaires d'animaux ou ceux qui doivent assurer l'étanchéité des barrières. Et puis toutes les mesures qui doivent être prises pour tirer les conséquences de ce drame. C'est un sujet très important, un sujet de sécurité", a dit le diplomate avant de dédouaner l'entreprise française en rejetant la faute sur les usagers sénégalais qu'ils accusent de provoquer tous les jours des accidents sur les routes sénégalaises autres que l'autoroute à péage.
"Tous les jours il y a de nombreux morts sur les routes du Sénégal et sauf erreur, l'autoroute et le moyen de transport le plus sûr", dit-il avant de se ressaisir : "mais un mort, c'est toujours un mort de trop et il faut tout faire pour éviter que ce type d'incident ne recommence".
A noter que dans toute sa communication diffusée par nos confrères, l'ambassadeur de la France au Sénégal n'a pas fait mention, une seule fois du problème de l'éclairage de l'autoroute à péage, qui est la première cause des accidents dramatiques notés sur cette infrastructure.
Sur les ondes de la Rfm, Christophe Bigot demande aux uns et aux autres d'attendre les résultats de l'enquête ouverte après la mort accidentelle de Papis Mballo du groupe Gelongal, pour situer les responsabilités avant de rappeler aux Sénégalais qu'ils sont massacrés chaque jour par leurs propres concitoyens sur les autres routes.
"Il y a une enquête en cours. Nous verrons quels sont les résultats de cette enquête. Entre la responsabilité des propriétaires d'animaux ou ceux qui doivent assurer l'étanchéité des barrières. Et puis toutes les mesures qui doivent être prises pour tirer les conséquences de ce drame. C'est un sujet très important, un sujet de sécurité", a dit le diplomate avant de dédouaner l'entreprise française en rejetant la faute sur les usagers sénégalais qu'ils accusent de provoquer tous les jours des accidents sur les routes sénégalaises autres que l'autoroute à péage.
"Tous les jours il y a de nombreux morts sur les routes du Sénégal et sauf erreur, l'autoroute et le moyen de transport le plus sûr", dit-il avant de se ressaisir : "mais un mort, c'est toujours un mort de trop et il faut tout faire pour éviter que ce type d'incident ne recommence".
A noter que dans toute sa communication diffusée par nos confrères, l'ambassadeur de la France au Sénégal n'a pas fait mention, une seule fois du problème de l'éclairage de l'autoroute à péage, qui est la première cause des accidents dramatiques notés sur cette infrastructure.
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