"Au moment où la loi de finances examinée à l’Assemblée nationale consacre des augmentations pour un personnel politique déjà grassement payé", s'indigne le Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen et du Secondaire (CUSEMS), le directoire nationale du cadre tient à alerter l'opinion publique sur "le non-respect par le gouvernement du paiement des indemnités liées aux examens qui doivent être soldées avant le 30 de ce mois". «Manifestement cet accord de 2011 ne sera pas encore une fois respecté», taclent les syndicalistes qui citent par ailleurs "le non-paiement des salaires des sortants de la FASTEF affectés dans beaucoup de régions (Matam, Louga Kaolack …) où leur paiement est différencié avec des discriminations inexplicables selon les Inspections Académiques d’accueil".
Dans un communiqué, le CUSEMS indexe aussi "les retards de salaire des professeurs contractuels qui doivent être imputés sur des crédits matériels au même titre que les émoluments des députés et conseillers du CESE qui n'accusent jamais de retard, et les lenteurs administratives, inacceptables dans la gestion des carrières des Professeurs, toujours persistantes (des centaines de dossiers sont en souffrance dans la fonction publique), la prise en compte des actes issus de l’opération coup de poing, le paiement des rappels consécutifs à la mise en solde, aux avancements… traînent". "La relative stabilité du système risque de voler en éclats et de céder le pas à des perturbations majeures si les provocations venaient à persister...", prévient le CUSEMS.
Dans un communiqué, le CUSEMS indexe aussi "les retards de salaire des professeurs contractuels qui doivent être imputés sur des crédits matériels au même titre que les émoluments des députés et conseillers du CESE qui n'accusent jamais de retard, et les lenteurs administratives, inacceptables dans la gestion des carrières des Professeurs, toujours persistantes (des centaines de dossiers sont en souffrance dans la fonction publique), la prise en compte des actes issus de l’opération coup de poing, le paiement des rappels consécutifs à la mise en solde, aux avancements… traînent". "La relative stabilité du système risque de voler en éclats et de céder le pas à des perturbations majeures si les provocations venaient à persister...", prévient le CUSEMS.
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