Le Président du Conseil d'Administration Mamadou Racine Sy pointé du doigt sur les agissements contre le DG Le président du Conseil d’administration de l’ipres Mamadou Racine Sy était l’absent le plus présent mercredi lors de la conférence de presse organisée par le Directeur général Mamadou Sy Mbengue . Son nom n’a pas été cité une seule fois par le Dg.
« (…) Quand ces supputations sont allées bon train dans la presse, je m’en suis ouvert à lui. Cela pourrait vous surprendre mais, devant témoin, un administrateur du CNP (Conseil National du Patronat), il a reconnu qu’il souhaitait effectivement que je quitte la direction générale de l’Ipres. Sur les raisons de ce souhait, il a expliqué qu’on lui aurait soufflé que j’étais avec un grand syndicaliste de ce pays, l’instigateur d’articles dénonçant sa longévité à la présidence du Conseil d’administration, alors que son mandat est terminé depuis près de quatre ans. Par ailleurs, il me révèle que des proches dans l’entourage du président de la République lui ont soufflé que, profitant de ma proximité avec ce dernier, je travaillais à changer la donne à l’Ipres par un transfert de pouvoir du Conseil d’administration vers la Direction générale et une mise à terme de l’autonomie de gestion. Il s’est senti visé par ma personne », a souligné souligne Mamadou Sy Mbengue dans les colonnes du journal Le Témoin.
Ce dernier n’a pas manqué de s’attaquer à l’association de retraités qui s’est réunie récemment à Thiès pour demander son départ. « Cela a semblé avoir une suite logique si l’on se réfère au profil de la vingtaine de retraités qui ont tenu une réunion à Thiès, qui sont tous membres du mouvement politique (ALSAR) du Président Racine et qui, sans mandat, ont voulu porter la voix de tous les retraités du Sénégal pour demander mon départ. A ces honorables retraités, je voudrais juste exprimer ma désolation et leur dire qu’on les attendait dans une démarche de sagesse qui leur commandait comme c’est la règle en Afrique, d’essayer de rapprocher les positions et faire revenir le calme et la sérénité » a-t-il fait remarquer.
Le Dg de l'Ipres s'est voulu clair. Il ne va pas démissionner « parce qu’une personne le veut. Seul Allah le Tout-puissant a ce pouvoir. Si demain le CA demande mon départ, je ne resterais pas une seule seconde à l’Ipres, mais je ne partirai pas parce que le PCA me le demande, je ne le ferai pas. En définitive, retenez que l’Ipres se porte bien et que nos services fonctionnement sans entrave et que tous les mois, nous parvenons à collecter et à payer 7 à 8 milliards de pension, soit plus de cent milliards de pension sur l’année en y intégrant les avances Tabaski et régularisations ».
« (…) Quand ces supputations sont allées bon train dans la presse, je m’en suis ouvert à lui. Cela pourrait vous surprendre mais, devant témoin, un administrateur du CNP (Conseil National du Patronat), il a reconnu qu’il souhaitait effectivement que je quitte la direction générale de l’Ipres. Sur les raisons de ce souhait, il a expliqué qu’on lui aurait soufflé que j’étais avec un grand syndicaliste de ce pays, l’instigateur d’articles dénonçant sa longévité à la présidence du Conseil d’administration, alors que son mandat est terminé depuis près de quatre ans. Par ailleurs, il me révèle que des proches dans l’entourage du président de la République lui ont soufflé que, profitant de ma proximité avec ce dernier, je travaillais à changer la donne à l’Ipres par un transfert de pouvoir du Conseil d’administration vers la Direction générale et une mise à terme de l’autonomie de gestion. Il s’est senti visé par ma personne », a souligné souligne Mamadou Sy Mbengue dans les colonnes du journal Le Témoin.
Ce dernier n’a pas manqué de s’attaquer à l’association de retraités qui s’est réunie récemment à Thiès pour demander son départ. « Cela a semblé avoir une suite logique si l’on se réfère au profil de la vingtaine de retraités qui ont tenu une réunion à Thiès, qui sont tous membres du mouvement politique (ALSAR) du Président Racine et qui, sans mandat, ont voulu porter la voix de tous les retraités du Sénégal pour demander mon départ. A ces honorables retraités, je voudrais juste exprimer ma désolation et leur dire qu’on les attendait dans une démarche de sagesse qui leur commandait comme c’est la règle en Afrique, d’essayer de rapprocher les positions et faire revenir le calme et la sérénité » a-t-il fait remarquer.
Le Dg de l'Ipres s'est voulu clair. Il ne va pas démissionner « parce qu’une personne le veut. Seul Allah le Tout-puissant a ce pouvoir. Si demain le CA demande mon départ, je ne resterais pas une seule seconde à l’Ipres, mais je ne partirai pas parce que le PCA me le demande, je ne le ferai pas. En définitive, retenez que l’Ipres se porte bien et que nos services fonctionnement sans entrave et que tous les mois, nous parvenons à collecter et à payer 7 à 8 milliards de pension, soit plus de cent milliards de pension sur l’année en y intégrant les avances Tabaski et régularisations ».
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